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Académie DC-01
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Anonymous

Ven 27 Avr 2012 - 15:54
L'histoire Académie DC-01 peut comporter des scènes ou des propos qui peuvent heurter la sensibilité de certains. Si vous n'êtes capable de supporter, alors ne lisez la suite. Ou ne venez pas vous plaindre. Des bisous. Coeur


Paris, année 3000, Académie Dc-01.

La ville de Paris a bien évoluée. Il existe peu de villes capables de procurer un tel confort technologique. Les jeunes générations et les nouvelles, peuvent être fière de la ville qui est toujours et encore la capitale de la France. En ce jour relativement ensoleillé, les élève de l'Académie DC-01, regrette déjà la fin de l'été, c'est le début de l'année scolaire, et les uniformes de l'Académie se font de plus en plus nombreux dans les rues avoisinant la magnifique école. Le directeur, ouvre les portes, les pas ne sont pas pressés, et pourtant il faut rentrer. Cette année, le directeur était décidé à sanctionner toutes jupes trop courtes et selon lui immorale. Les filles trouvaient bien plus charmant de raccourcir leur jupes afin de montrer leurs jambes, au bonheur d'un grand nombre de garçons. Des nouvelles têtes, les nouveaux secondes entre en scène, tous habillés d'uniformes neufs et parfaitement repassé, ils regardaient tous les grands panneaux, cherchant leur noms et leurs classes. Et puis au contraire, il y avait les terminales, eux étaient plus grands, plus blasés pour certain. Des murmures, les entendez vous ? « Lou Meister est arrivé... » disent certaines fille des classes de première 4. « On dit que c'est un salaud de première avec les filles. » réplique une autre. « Oh tant pis, regardent le un peu... Je veux bien qu'il soit un salaud avec moi. » déclarent une autre en suivant la marche de celui dont toutes les filles parlent. Grand, blond, un mètre quatre vingt sept, toutes admettent qu'il est foutu comme y'a pas et qu'il cache pas mal de truc sous sa chemise et pas seulement du muscles. La mine blasée comme d'habitude, il porte une sorte de sac sur une épaule et s'avance vers le panneau où il cherche son nom et où il va devoir se poser jusqu'à la fin de l'année. C'est pas un élève médiocre, au contraire, mais s'il daignait faire des efforts il pourrait faire ce qu'il veut. Mais non. Il se contente de venir en cours, coucher avec les filles qu'ils considère comme " Canons, bonnes, baisables." Il émet un Tss, fais chier.

D'autre murmures. Quoi ? Une nouvelle. Jupe courtes plissées à mi cuisse, la chemise portée négligemment, deux boutons de chemise défait et une cravatte mal serrée, les cheveux attachés, la longueur qu'on pourrait estimer à Longueur mi dos, et une frange droite qui vient caresser son front. Les yeux de couleur différentes, l'un plus clair que l'autre. Canon. Ca, on peut le lui enlever. Une « petite bombe » qui avancent le pas certain dans des ballerines en cuir grises argentée, qui rappelle la couleur peu commune de ses chevelures. Minces, très minces, on devine une poitrine bien sensuelle. Elle retire les écouteurs de ses oreilles et s'avancent. Elle se met à côté de Lou, sans le connaître, elle regarde son nom. « T'es bonne. Ça te dit on baise ? » Elle se tourne son visage, et sourit en coin. « C'est ce que tu leurs dis à toutes hein ? Cours toujours. » Elle s'en va.

Elle entre, pose son sac. Trois autres filles de sa classe s'approchent d'elle en souriant, elle leur sourit. Elles se présentent et lui demande son prénom. « Hatsue. » répond t-elle distraite. L'autre grand blond est dans sa classe. Les trois jeunes demoiselles émettent un soupir admiratif. Les trois sont passées à la casserole. « C'est Lou, Lou Meister. On dit qu'il s'est tapée toutes les filles les plus canons. Enfin, sauf une. » Elles regardent Hatsue. L'exception c'était elle ? Elle soupira et haussa les épaules. Hatsue tourne la tête vers elle et se met à les détailler. « C'est plutôt prétentieux de vous dire des filles canons non ? Rien qu'à vous voir on sait qu'ils vous as donné le seul orgasme de votre existence. » Les filles regardent Hatsue mauvaises et s'en vont, Hatsue sourit, elle n'a pas besoin de trois petites connes ici pour lui exprimer leur désir de retomber dans les bras de l'autre gus dans le coin qui mattent jambes sans aucune gêne, Hatsue les croisent et regardent ailleurs. En même temps, il pouvait très bien lui servir de partenaire, du cul pour du cul qui pourrait s'en plaindre ? La journée est d'un ennui maladif, Lou s'est endormi dans le fond de classe, la dernière fois qu'un professeur a décidé de le réveiller... Non aucun professeur n'essaye de le réveiller. C'est la pause, Hatsue se lève rapidement pour aller se chercher une canette au distributeur d'un des couloirs proches de la salle. Lou décide de la suivre et la coince au distributeur. Le sourire en coin, l'air sur de lui, il savait qu'il aurait ce qu'il voulait, c'était tout le temps comme ça avec les autres, alors pourquoi pas avec elle ? Et puis s'il elle refusait à nouveau il irait se vider dans une des nouvelles lycéennes fraîchement sorties du collège, histoire d'en déflorer une ou deux, et leur faire croire qu'en lui donnant leurs petite fleur virginale ils allaient finir ensemble. Tels qu'il se seraient vidé, il la laisserait dans le coin qu'il aurait trouvé pour s'amuser. Elle leva les yeux et ouvrit la canette qu'elle porta à ses lèvres. « Tu m'as l'air bien expérimentée niveau cul. Je préfère les vierges, mais pour toi, je ferais une exception. » Cash. C'était clair, net et précis, sans bavures et on tourne pas autour du pot. C'était aussi ça, monsieur Lou Meister. Je veux donc j'ai. Elle se mit à rire, et lui tourna le dos, pour retourner en cours. Un coup de vent et on voit son cul, pétasse, pensa t-il. Il fourra ses mains dans ses poches. Il sécha les cours, et baisa une petite gamine de 16 ans, aussi vierge que la feuille de présence de Lou Meister en cours d'Anglais.

Lou. Cette Hatsue là, ouais, la nouvelle qui vient d'arriver, faut vraiment que je me la fasse. Elle dira pas non, faut que j'insiste un peu, je suis sure qu'elle écartera les jambes comme toutes les autres. La seule chose à laquelle on pense quand on la voit, c'est de la baiser. Franchement, on va pas se mentir, elle sait qu'elle est bonne, elle sait qu'elle plaît et elle en joue très bien. La longueur des jupes frôlent l'indécence. Pour elle c'est pareil. La même longueur mi cuisse, la même envie d'un coup de vent, voire même de lui foutre la main au cul. Ah, quand les cours reprennent, c'est la fête, elles me tombent toutes les bras, j'ai plus qu'à glisser ma main dans leurs culottes, et elles sont à moi.


Dernière édition par Hatsue Kyoku le Ven 27 Avr 2012 - 16:08, édité 1 fois
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Anonymous

Ven 27 Avr 2012 - 16:00
Ce soir, quelques élèves de la terminale A décidèrent de sortir après les cours, histoire de faire connaissance avec ceux qu'ils connaissent moins. Lou ne viendra pas. C'est pas son truc les soirées. Mais Hatsue, elle, c'est son truc. La fête ? Il vaut mieux pas la lancer la dessus, c'était surement une des choses qu'elle faisait le mieux, la fête. Elle accepta en souriant l'invitation des deux garçons, qui ne proposèrent même pas à Lou de venir. Il n'était pas spécialement le mec le plus social de l'Académie, sauf quand il s'agissait de baisser son pantalon, et encore... Personne ne sait vraiment ce qu'il fait en dehors des cours, il y a eu des rumeurs comme quoi il était une sorte de yakuza, mais en vérité, il traîne. Juste. Et un truc qu'il aime, c'est se battre. C'est un truc qu'il adore. Pourquoi ? Ca c'est une bonne question. Personne ne pourrait y répondre à part lui. La sonnerie annonce la fin des cours, et Hatsue attrape son sac, et quitte la salle. Ils sont dix à s'être donné rendez vous dans un bar de la ville de Paris. Lou haussa les épaules, bailla et comme à son habitude se traîna jusqu'à là sortie de l'Académie. Franchement, cette Hatsue, il fallait qu'il se la fasse, la voir se pavanée fière ainsi, l'emmerdait royalement, il voulait en faire son jouet, son objet.

La soirée battait son plein, Hatsue semblait plus sociable, a son aise dans ce lieu. Elle portait une robe noire qui laissait bien comprendre qu'elle en avait dans le soutien gorge, et une paire de ballerine plate, elle avait posé sa veste sur le dossier de sa chaise et discutait avec les autres en buvant de l'alcool. Les mecs la trouvaient de plus en plus agréable à côtoyer et les filles trouvaient qu'elle n'était peut être pas seulement qu'une garce narcissique. Elles avaient tort, en partie. L'alcool monte vite à la tête, Hatsue est un fêtarde, elle est connue pour son caractère de merde, sa mauvaise humeur, d'être un garce narcissique mais surtout pour son goût pour les soirées arrosées, raison pour laquelle où elle avait du quitter son ancien établissement. Hatsue commençait à être vraiment pétée, dans le genre joyeusement en train de rigoler.Un des type posa sa main sur sa cuisse qu'elle ne s'en rendait même plus compte, c'était ça aussi Hatsue, parfaite le jour ? Débauchée et incontrôlable une fois le seul des trois verres dépassés. La porte s'ouvre. Les têtes se tournent, Hatsue reste concentrée sur autre chose. Grande silhouette, blond, les yeux agacés, l'envie de baiser. Il attrapa Hatsue par le bras. « Bouge ton cul, tu rentre on baise et tu la boucle. » Elle regarda son bras, et regarda Lou un sourcil haussé. Sérieusement ? Elle le regarda et commença à rire. « Ouais c'est ça, dégage. » répondit-elle en dégageant son bras. Il la regarda avec une expression proche : " Qu'est ce tu racontes pétasse, je t'ai pas demandé ton avis. Comme si je te demandas ton avis. " Il haussa un sourcil, méprisant, elle commençait à le chauffer sérieusement. Il l'attrapa par les hanches et la souleva pour la porter sur l'épaule, elle attrapa son sac rapidement, et fit un bye bye aux autres qui trouvèrent des situations plus ou moins surréelle.

Dans la rue, Hatsue demanda à ce qu'il la pose par terre. Il refusa, exprimant l'idée qu'Hatsue pourrait avoir à se barrer, et qu'il n'avait aucune envie que cela arrive puisque ce soir, qu'elle le veuille ou non, il la baiserait comme toutes les autres. Elle soupira. Et lui répondit qu'elle ferait l'étoile de mer, que ça le soulerait et qu'il débanderait direct. Il eut un sourire en coin. « J'aime pas besoin que tu sois active. Moi je veux juste me vider les couilles. Et puis tu verras que tu feras pas l'étoile de merde bien longtemps pétasse. » Elle se mit à rire et lui demanda dans quelle toilette publique il comptait lui soulever sa robe. Il soupira. « T'es genre une fille trash c'est ça ? » la tête d'Hatsue ballottait contre son dos. « Ouais, c'est ce que les gens aiment se dire. T'as pas répondu à ma question. » dit elle. « J'ai pas envie d'y répondre. » répliqua t-il.
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Ven 27 Avr 2012 - 16:05
Ils arrivèrent. C'était chez Lou. Hatsue ne comprit pas tout de suite. Il la posa et ferma la porte. Elle posa son sac. C'était grand, très grand mais c'était surtout le bordel. C'était plutôt sombre, il faisait nuit de toute façon, Lou alluma la lumière et se posa sur le canapé du salon. Elle regarda autour d'elle pas mal de bouquins en faîte. Ce mec était une antithèse à lui tout seul. Elle s'asseyait à coté de lui. Il bailla. Il commença à sourire. Elle sentait encore l'alcool et il l'a sentait bancale. « Bon alors ? Sinon je me casse moi. » dit elle, elle croisant les jambes qu'elle avait nue. Elle avait le genre de robe qui frôlait aussi l'indécence, qui moulait ses hanches, marquait sa taille fine et qui voulait franchement dire : Baisez moi. Hatsue n'était pas flle à se laisser dicter sa conduite. Elle se releva agacée par le silence de Lou, il l'attrapa par le poignet la balança sur le canapé sur le dos. « Fais pas ta femme de caractère t'as autant envie de baiser que moi. » Il se pencha au dessus d'elle, et eut un sourire en coin, avec un air qui disait : Tu vois, je vais te baiser, comme je l'avais prévu depuis longtemps. La main de Lou vint bien vite se caler sur la cuisse de la jeune fille, remontant le tissu stretch de sa robe, Hatsue le laissa faire, attendant la suite. La jeune femme regardait Lou, la bouche entre ouverte. Il se pencha et vint lui lécher puis lui mordre le cou, elle grimaça, mais ne trouva cela désagréable. Au contraire même. Elle se redressa sur ses coudes, sa robe remontait au dessus de ses hanches. Au final, elle allait céder, les filles sont toutes les mêmes. Surtout avec lui. Il s'arrêta, se ressaya, comme s'il allait faire tout le boulot. Elle le regarda outrée. « Voyons comment tu t’y prends avec moi, on va voir ton expérience. » Elle haussa un sourcil, c'était un défi ? Elle se releva à son tour et se cala sur les genoux de Lou. Les vierges que se tapaient Lou ne pouvait pas se vanter de pouvoir faire cela. Les hanches d'Hatsue entamèrent un mouvement, fluide d'avant en arrière sur le bassin de Lou. Au final, l'étoile de mer c'était pas trop ça. « Elle est passée où l'étoile de mer ? » dit il avec son sourire en coin habituel. Les respirations se firent plus plus pressantes, plsu saccadées en proie à des choses bien intimes. Hatsue lui lécha le cou et s'affaira. Au final, elle avait vraiment envie de baiser. Oh ça oui. " C'est qu'elle commence à m'exciter cette pétasse. Elle est douée. Eh bah putain. " pensa t-il, il la fit basculer, et se à son tour à s'occuper d'elle, alors qu'il lui retira sa robe rapidement, sans autre forme de cérémonie, et pourquoi en faire une ce truc n'était qu'un bout de tissu. En effet, sacré paire de seins qu'elle avait celle là. Il l'a fit écarter les jambes, fit ce qu'il avait à faire. Il voyait bien l'effet qu'il lui faisait, il n'en avait l'égo que plus surdimensionné encore. Il lui retira ses sous vêtements et la pénétra d'un coup, sec, net et précis, sans bavure sans tourner autour du pot, du Meister quoi. Voyant qu'elle avait ce qu'elle voulait. Il s'arrêta, d'un coup. L'horrible frustration qu'il installa en Hatsue eut pour seule effet de refaire sortir l'égo de la demoiselle, qui se leva et commença à se rhabiller. « Putain, mais quelle déception. T'es bien à la hauteur de ta réputation, t'es juste un salaud pour ce qui est de la baise ça, on repassera. » Elle enfila ses sous vêtements. Putain mais, elle il fallait qu'elle fasse son intéressante ? Elle pouvait faire comme toutes les autres ? Elles le suppliaient toutes de continuer, qu'elle ferait tôt ce qu'il voudrait. Chiennes qu'est ce qu'elles feraient pas pour un orgasme. Elle prit son sac et enfila sa veste. Elle croyait aller où cette pétasse ? Il se leva, la plaqua violemment contre le mur, énervé. Il reprit, remonta sa robe. « Tu crois aller où comme ça hein ? » Il la pénétra avec encore plus de force, cherchant presque à lui faire. Hatsue lui lacéra le dos de ses ongles. Elle ne lui répondit pas et prit son pied, la contre le mur d'un appartement d'un pauvre type, d'un salaud de la pire espèce. Les rumeurs disaient vrais, quel orgasme il lui avait donné. « Maintenant casse toi » lui dit il. « Comme si je comptais m'installer. »

Pendant les cours, Hatsue croisait et décroisait ses jambes comme si elle cherchait à enfermé le diable entre ses jambes. Il y a à peine quelque heure, c'était Lou qu'elle avait entre les jambes. A cette pensée, Lou se mit à sourire, se disant qu'il était bien partie pour lui écarter les jambes quand il en avait envie, et qu'elle avait pas s'en plaindre cette espèce de nymphomane manipulatrice. Comme à son habitude, Hatsue, à la pause prit une canette au distributeur, et Lou la coinça au même endroit. « Qu'est ce tu veux ? » lui demanda t-elle. « Baiser. » répondit il. « Tant mieux pour toi mon grand. » C'est ce qu'elle dit. A midi, il la prendra dans les toilettes et elle sera bien contente. Et vous savez quoi ? C'est bien ce qu'il se passa. Pourtant, Lou semblait profiter de plus en plus de son nouveau jouet sexuel, délaissant toutes celles qu'il baisait quand il en avait le temps ou même l'envie. Et ça, ça plaisait pas à tout le monde, surtout pas aux filles. Surtout pas à cette petite blonde à gros seins dans la terminale 2 de l'Académie. J'ai nommée Miss Mariko, autrement appelée : Celle qui a été baisée le plus de fois par Lou. Enfin, c'était vrai jusqu'à ce qu'Hatsue arrive. La suite s'annonçait des plus passionnantes. Du cul, des filles, de seins et des mini jupes. Que demandait le peuple ?
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Ven 27 Avr 2012 - 16:15
Un matin, alors que tout semblait se passer pour le mieux, Mariko et Hatsue se croisèrent dans les couloirs. Hatsue, qui jusqu'à aujourd'hui, en avait rien à foutre des plans cul de Lou tant qu'aucune d'elles ne venaient la faire chier avec leur histoire de jalousie. Mais Mariko, c'était une autre autre histoire, elle voulait Lou pour elle toute seule. Elle avait juste à coller sa paire d'énorme nibards sur une des parties du corps de Lou ( laissez libre cours à votre imagination ) et le voilà en train de lui soulever sa jupe. Mais ça, ça se passait de moins en moins souvent pourquoi, personne ne le savait vraiment. Hatsue semblait être le jouet préféré de Lou, comme Lou le jouet préféré d'Hatsue, ils s'étaient plutôt bien trouvés. Même si Hatsue refusait parfois de faire plaisir à Lou et l'envoyait bouler la queue entre les jambes. Souvent, parce qu'elle avait faim. Quand Hatsue a faim, vous ne pouvez rien lui faire faire, jusqu'à ce qu'elle soit repue. C'est un bébé cette fille. Alors qu'Hatsue passait, une canette dans la main, et des cours dans l'autre, Mariko et sa bande de copine la bousculèrent de manière volontaire, Hatsue garda son calme, reprit ses affaires et vida la totalité de sa canette sur le parfait brushing de Mariko qui se mit à émettre des cris de furie et insulter Hatsue, qui se mettait à rire et lui balançait la canette vie. « Pauvre fille ...» déclara Hatsue en tournant les talons, Lou, spectateur de la scène avait cet espèce de rictus satisfait de la scène. Hatsue, le regarda, énervée, elle n'aimait pas ce genre de situation, mais la chercher, c'était la trouver très rapidement. « Une remarque, et tu te cales la queue derrière l'oreille pauvre type. » déclara t-elle, il la suivit les mains dans la poche, la chemise de quatre ou cinq boutons. « Je viens chez toi après. » déclara t-il, c'était pas une question c'était une affirmation. « Non, va baiser Mariko, elle n'attends que ça. » répliqua Hatsue en déposant ses cours dans un casier. Il se cala contre les casiers en métal et eut à nouveau ce rictus. « T'es jalouse ou quoi ? » demanda t-il amusé. « T'en as pas marre d'être con ? » répliqua t-elle exténué par l'attitude prétentieuse de Lou. « Passe si tu veux. Je m'en fous. » Et elle s'éloigna le regardant par dessus son épaule. « Je suis sure t'es amoureuse ! » Elle haussa les épaules. « Et de qui ? » puis elle partie, roulant des hanches. Pétasse pensa t-il. Il retourna en cours.

A la fin des cours, Hatsue entama le chemin du retour. La jeune fille recroisa alors Mariko, qui changée était seule et l'attendait à un carrefour, Hatsue la regarda, elle sentait toujours le liquide chimique et très sucrée qu'elle lui avait versée dessus. Mariko la regardait mauvaise. « Je peux savoir ce que tu me veux ? T'as juste à demander à Lou de te baiser et t'auras ce que tu veux... » commença Hatsue fatiguée des histoires des lycéennes de l'académie DC-01 tout ça arrivait à cause de Lou, il avait pas intérêt à passer chez elle, qu'il se trouve une autre à sauter ce soir, elle était pas d'humeur. Mariko s'approcha, provocante, et mit en garde Hatsue de se tenir éloignée de Lou, ou sinon ... Hatsue la regarda, fatiguée de sa journée, Mariko était une fille vulgaire sans aucune fierté et maintenant les cheveux gras. Hatsue s'attacha les cheveux et se frotta les yeux. « Mais lâche moi... » Hatsue continua sa route. La jeune Mariko excédée par l'attitude désinvolte crut bon de vouloir jouer des mécaniques, seulement Hatsue fatiguée ça donnait autre chose. Hatsue attrapa la doigt que Mariko pointait vers elle menaçante et le lui brisa, excédée, presque rageuse de se retrouver dans des situations pareilles à cause de Lou.

Lou ? C'est un branleur ce type. Sérieux, je me retrouve insultée par des bandes de connes parce qu'elles sont pas capable de trouver un type capable de les satisfaire. Lou, c'est les restos du cœur version cul. En gros, il rend service aux autres en se rendant service. Mais apparemment, les restos du cœur sont de moins en moins charitables, alors forcément ça plaît pas aux autres. Ce que je pense de lui ? Beaucoup de choses, et en même temps peu. Je suppose qu'on s'aime bien vu qu'on réussit à se supporter. Bon c'est skouatteur ce type.
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Ven 27 Avr 2012 - 16:23
Suite à une journée particulièrement peu passionnante et pourtant exténuante, la préparation des portes ouvertes de l'Académie, auquel tous les élèves doivent participer afin d'aider à la mise en place des classes, et des thèmes qui seront abordés, l'Académie déjà bien pompeuse à la base, s'habillait de ses plus belles couleurs. Nous étions tous donc réquisitionnés pour l'aide. Lou, que l'on trouvait dans un coin de l'école, refusait catégoriquement de participer à la mise en place d'une façade hypocrite où les parents trouveraient ce qu'ils cherchent et retrouveraient leurs gamines en mode garce du métro, prête à tout pour baiser avec lui. Je le regardais outrée de cette prétention, mais il me fit rire. Il me regarda et m'envoya un : Salope. Je haussais les épaules. Et m'asseyait à côté de lui. « Tu fais quoi toi là ? Dégage je te dis. » maugréa t-il en sortant sa sucette de sa bouche. « T'es collante putain...» continua t-il « Ta gueule Lou.» le coupais-je.

La chemise d'Hatsue était plus déboutonnée que d'habitude, et sa cravate quasiment défaite. Et elle était moins coiffée que d'habitude, machinalement en se recoiffa, et rattacha cette chevelure qu'elle avait blond cendré quasiment gris même. C'était une couleur étonnante, peu naturelle, mais étonnante. Elle avait fermé les yeux pour profiter de la brise qui passait pour le préau. Elle se frotta les yeux puis se leva, prenant soin de ne montrer aucune partie e son corps qui ne devait pas être vue, cela fit sourire Lou bien malgré lui et marmonna seul, elle se retourna et s'en alla. « Je passe chez toi tout à l'heure. » elle se retourna et lui souriait. « Non, je crois pas non. ». Vers 20 heures alors qu'elle avait à peine commencé à manger et que cette éternelle canette de jus de fruit couleur rouge se trouvait sur la table addiction bien étrange étant donné le goût acre de la chose, Lou passa la porte sans s'annoncer. Et posa son cul sur la table. Hatsue mangeait, tranquillement, elle avait une sorte d'inconscient qui lui faisait bien souvent bouffer des trucs rouges, allez savoir, elle devait être tarée. « Maintenant que t'as bouffé on peut baiser. » Elle se leva et débarrassa la table, sans dire un mot. « Comme si tu pouvais débarquer ici, me traiter comme ta pute et partir, tu t'es cru dans un film mon pauvre. » Elle entra dans la salle de bain en vitesse et n'en ressortie que rafraîchie. Elle trouva Lou, affalé sur le canapé tenant la canette de jus de fruit posée sur la table précédemment. « Mais t'es une pute Hatsue. » Elle se retourna, le regarda, mauvaise, et franchement vexée. « Dans ce cas dégage, je fais pas la charité. » Il souriait fer de l'effet que sa déclaration avait eu et l'attrapa. Il était fatigué. Et l'allongea sur le canapé, et posa sa tête sur sa poitrine. Il avait pas le souvenir qu'elle était aussi volumineuse, et Hatsue, qu'elle soit douloureuse. Il maugréa qu'il était fatigué et qu'il allait dormir. Sur elle ? Elle ne comprit pas le passage de l'insulte à dormir. Ce type avait des problèmes, elle n'était pas spécialement bien installée, le bras de Lou qu'elle avait dans le dos l'empêchait d'avoir le dos plat. Puis elle arrêta de bouger et regarda Lou dormir. Musique Maestro. Elle put détailler l'irrégularité apparente de la peau de Lou à certains endroits comme des cicatrices, elle aurait voulu lui demander, mais elle resta là, à le regarder, puis elle s'endormit à son tour, ne pouvant pas bouger et ne voulant pas réveiller Lou.

Il se réveilla, en pleine nuit, encore un peu fatigué, mais soulagé d'avoir enfin dormi, voilà des nuits qu'il se tenait éveillé, à cause de lui. Il maugréa, se frotta la crâne et regarda Hatsue endormie, quasiment nue, qui gardait pourtant sa dignité, c'était extrêmement déroutant. Elle se réveilla à son tour, et se releva, et Lou tira la serviette, elle le regarda encore endormie, un bébé, un vrai bébé, quand cette fille se réveille on dirait un bébé, elle boude, minaude, grogne veut encore dormir et est de mauvais poil. «Habille toi, on va se balader. » elle lui balança un des coussins du canapé et se tourna sur le ventre. « Allez bouge ton cul pétasse ! » Elle se redressa, et se frotta les yeux. Se balader ? Il veut se balader ? Il est devenu fou, qui que vous soyez sortez de ce corps. Mais elle s'exécuta, prit un jean, une paire de basket, un débardeur et un sweat à capuche. Ils quittèrent l'appartement d'Hatsue qui se trouvait en plein centre, Lou se demanda comment elle pouvait savoir les moyens de vivre ici, il haussa les épaules et continua sa route, la jeune femme le suivait, silencieuse. Les nuits parisienne sont bien souvent bruyantes et très animées, ce soir, ne faisait pas exception à la règle, c'était bruyant et animé. « Eh dis donc, ce serait pas Lou Meister là ..» s'exclama une voie qui semblait familière à Lou, il se retourna, et vit une de ces connaissances adossée à un mur, un jeune homme plutôt séduisant et blond. « Depuis quand tu les balades Lou ?» lui demanda t-il en reluquant Hatsue de haut en bas et de large et en travers. Lou maugréa quelque chose d'incompréhensible, comme d'habitude, et Les deux commencèrent à discuter de choses et d'autres, des dernières personnes qu'ils avaient joyeusement corrigé dans la banlieue 12 de Paris. Tout à coup, le type se mit à sourire. « Désolé mec, c'était toi ou moi. J'ai préféré que ce soit toi. Avec un peu de chance, ils embarqueront ta copine aussi.». En moins de deux minutes, la police annonçait déjà son arrivée, Lou l'ayant mauvaise du se rendre à l'évidence qu'il fallait maintenant qu'il se casse et qu'il se fasse oublier. Franchement, c'était pas ce qu'il avait prévu mais tan pis. Il attrapa Hatsue par la main et commença à cavaler dans les ruelles de Paris, une chose qui n'avait pas changé, les ruelles parisiennes, toujours aussi étroites, Hatsue se mit à le suivre, non par envie, mais parce qu'il la traînait surtout. La cavale continuait, et Hatsue fatiguait, un peu ... puis plus ... et enfin elle n'en pu plus. Elle regarda Lou, ils avaient emprunté une voie sans issue, il commençait à pleuvoir. Une journée de merde, ça tu peux le dire c'est clair. Ils semblaient coincés et entendaient les policiers crier : " Par là ! " Les cris se rapprochaient. Lou souleva Hatsue en pleine crise nerfs, trempée, elle ne contrôlait plus rien, Lou tomba sur le dos, la scène devenait ridiculement pitoyable. Elle grimpa, on ne sait comment, passant par dessus le mur, Lou en fit de même et tous deux disparurent aux yeux des policiers, ils les entendaient de l'autre côté du mur, il s'y collèrent et se cachèrent. Tous deux trempés. Puis Lou se leva, il était temps de rentrer, c'était pas dingue comme balade très franchement. Hatsue se releva à son tour et marcha tranquillement quand d'un coup, quelque chose se brisa en elle. Elle continua pourtant de marcher, pensant que cela passerait, mais non, c'était de pire en pire, elle marchait vite, puis plus lentement, puis plus du tout et tomba au sol, ne comprenant même pas ce qui pouvait lui arriver à elle, elle n'avait pas reçu de coups. Mais la douleur était bien là, bien installée, vive, coriace, et elle la broyait, la tordait de l'intérieur. « Lou .. doucement... attends... » Il se retourna, ne comprenant pas, ayant entendu une voix brisée, bien loin de celle dont il avait l'habitude d'entendre de la bouche d'Hatsue. Elle semblait souffrir, aussi bien physiquement que psychologiquement du moins, il supposait. Hatue était là, et savait, savait pertinemment, et depuis le moment même elle avait eu mal au ventre qu'elle l'avait perdu. Au moment même où la douleur l'avait prise, elle l'avait perdu, elle ne pleurait pas, car elle n'avait pas à pleurer une douleur physique et même, elle n'avait pas cette envie, elle voulait hurler, elle voulait hurler au monde la douleur qui la tiraillait, elle se tenait le ventre, elle était impuissante, une flaque de sang se forma, elle passa une main et regarda celle ci pleine de sang, de son sang, elle eut le regard vide et vitreux choqué, et puis ce fut une panique, une telle panique, une sorte de dégout envers elle même envers ce qu'il se passait, et le pire c'est qu'elle ne réussissait même pas à ne pas y accorder d'importance. Elle restait là, à souffrir, en silence, mais c'était horrible. Elle se sentait punie pour quelque chose, elle ne savait même pas pourquoi, elle avait si mal. « Je suis désolée ...» murmura t-elle entre deux assaut de douleur. Lou s'emporta.

Il s'approcha d'elle, et voulu la secouer il ne comprenait pas il la voyait, il entendait, il l'entendit prononcer ses mots. « J'arrive pas à m'en foutre... Je devrais pourtant, non ? » Elle parlait comme si elle parlait seule, sous le choc. Il l'attrapa par les épaules. « MAIS QUOI PUTAIN ? IL T’ARRIVE QUOI HEIN ! T'ES PITOYABLE COMME CA ! » Lui non plus n'arrivait pas à l'abandonner derrière lui. Elle le retenait, mais il ne savait pas comment et cette situation, il ne la supportait plus, qu'est ce qu'elle avait à la fin ? Ne pouvait elle pas prononcer, ne pouvait pas mettre de mots sur ce qui lui arrivait pour qu'il puisse la comprendre, et puis pourquoi était il toujours là ? Il la gifla, violemment, il sentit son visage se décaler sous son geste. Elle le fixa, choquée. Elle tournait autour du pot pour lui. Elle essayait de ne pas donner d'importance à quelque chose qu pourtant la détruisait. « Je le perds... » Quoi ? « Je perds ton gosse, ouais, c'est pitoyable, c'est pitoyable et ridicule...» Il la regarda. Il dut perdit un battement de cœur et un gosse. Puis, elle partie. Comprenant à la phrase de celui ci qu'elle devait l'oublier.

Suite à cet incident, Hatsue et Lou se perdirent de vue. Hatsue accepta d'aller étudier à l'étranger, grâce à un échange organisé par l'Académie. Hatsue n'alla pas en cours les jours précédents son départ. Refusant catégoriquement de devoir affronter Lou, et la culpabilité qu'il faisait naître en elle. Hatsue partie en Angleterre, et Lou resta à Paris, devenant insupportable, et agressif avec tout ce qui pouvait le toucher de près ou de loin. Le sujet Hatsue devint tabou à l'Académie. Et quand on dit tabou, le simple fait de prononcer le prénom d'Hatsue en présence de Lou était considéré comme une tentative de suicide et une provocation pure. Mais personne ne savait pourquoi. Sauf lui. Sauf elle.
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Ven 27 Avr 2012 - 16:29
Savez vous de quoi on parle en ce moment dans les couloirs ? Les trentes jours de régime de terreur risque de se terminer. Oui, depuis plus d'un mois, l'Académie s'est transformé en pays conquis par la terreur, et le dictateur c'est Lou. Beaucoup craignait son agressivité, mais il fallait surtout craindre sa frustration sexuelle et sa mauvaise humeur. Hatsue vivait à Londres depuis maintenant un mois, personne n'avait de nouvelles, et personne ne voulait même tenter d'en prendre de peur de se faire griller par Lou à en pendre. Il avait reprit de mauvaise habitude mais surtout il dormait peu, pas assez tout du moins. Et il avait bien du s'avouer qu'il ne dormait bien qu'en présence d'Hatsue et ça .. et ça, ça l'avait véritablement, et profondément fais chier. Il avait des cernes immenses. Mais ce dont on parlait en ce moment dans les couloirs c'était surtout du retour d'Hatsue à l'Académie. Car oui, elle rentrait aujourd'hui. Personne ne savait à quelle heure exactement pas même Lou qui au final, avait oublié qu'elle rentrait, depuis quelques jours, il était surtout sur une sorte de mode automatique, où la notion du temps ne faisait pas partie de son programme. Aujourd'hui, cours de musique dans l'auditorium. Lou reste dans le fond de l'auditorium dans les sièges rouges et confortables. L'auditorium était aussi la salle de concert de l'Académie, encore une des fierté de celle ci, les concerts des élèves de DC-01 étaient de pur merveille, mais bien entendu Lou n'y participait pas. Il venait encore histoire de ne pas avoir de problème avec mademoiselle je suis mal baisée, et faisait les évaluations en retard et en dernier. Naruu, un jeunes élèves de la classe de Lou, entama une discussion avec une des autre filles, plus personne ne tenait en place, tout le monde voulait revoir Hatsue, et tout le monde voulait surtout voir la tête de Lou. Qu'est ce qu'il avait bien se passer entre ces deux là pour qu'elle décide subitement de quitter le pays. Oui, parce que c'est ça au final. Elle avait quitté le pays, elle l'avait quitté lui, elle était partie. Naruu commençait à parler pensent que de là où était Lou, celui ci n'entendrait pas, l'auditorium étant une salle de concert, l’acoustique était ... parfaite, seul un pigeon ne comprendrait pas ça, faut croire que Naruu était un pigeon qui allait bientôt finir en nuggets. Lou se leva. Le regard haineux. Il avait pourtant cru qu'avec l'attitude qu'il avait personne n'oserait lui rappeler Hatsue, mère de son gosse mort dans la bouillasse pluvieuse de Paris, et pourtant... Il enjamba les rangées de sièges. « Mais de quoi tu crois que tu parles toi espèce de petit con...» Naruu ne se dégonfla pas. C'était peut être le seul à vouloir avoir envie de savoir ce qu'il se passait sans s'en cacher. « Je vais t'étriper avec les cordes de ta guitare mec. » menaça t-il. Il monta sur la scène, il avait l'air franchement fatigué. La professeur du cours de musique tenta de les séparer ... verbalement. Mais personne ne voulait s'interposer physiquement, non c'était pas quelque chose d'extrêmement tentant. Mais ce que l'on voyait dans les yeux de Lou, c'était beaucoup de colère mais il n'y avait pas que cela. En perdant ce gosse, il perdait une chance de prouver qu'il n'était peut être pas qu'un connard, qu'un salaud de la pire espèce, il avait dit des choses Hatsue qu'il n'avait pas pensé, mais il avait voulu se protéger de ce qu'il ne connaissait pas.

Arrivée hier à l'aéroport international Erlando Vovh, Hatsue devait se présenter en cours cet après midi afin de pouvoir reprendre le cours normal de ses études, ce mois à létranger ne l'avait profondément aidée. Mais elle avait pu s'éloigner un peu de Paris et de tout ce que cela lui rappelait. Elle avait voulu demander au directeur de lui donner quelques jours, mais celui ci refusa, on aurait pu penser qu'en effet, il faisait ça pour qu'elle reprenne les cours, mais lui aussi était au courant de la situation à cause des plaintes des élèves et de certains professeurs, ( oui parce que même lorsque les professeurs faisaient l'appel, certains prononçait le nom d'Hatsue ). Il avait bien essayé de convoquer Lou dans son bureau plusieurs fois mais celui se défilait à chaque fois. Le directeur avait donc exigé la présence dHatsue en cours au plus vite c'ets à dire cet après midi. Celle ci avait maigrie. Beaucoup maigrie. On la reconnaissait toujours à la couleur de ses yeux, à cet œil plus clair que l'autre, et à cette beauté qui semblait avoir souffert, elle apparaissait comme écorchée vive, mais magnifique dans la souffrance. Elle portait le pantalon réglementaire de l'uniforme, un pantalon de costume bleu marine qu'elle avait retroussé pour laissé apparaître ses bien maigre chevilles, elle portait la chemise blanche toujours défaite de deux boutons, la cravate desserrée et elle avait par dessus son gilet gris. Elle avait les cheveux attachés en une lourde tresse qui glissait sur le côté, le directeur lui fit un large sourire, pourtant il voyait bien que quelque chose clochait.

Hatsue se dirigea alors seule vers l'Auditorium, les gens qui la croisèrent se retournèrent sur son chemin tout le monde voulait la suivre pour savoir ce qu'il se passerait, mais personne n'osait. Elle devait retrouver sa classe. Pendant se temps là, un joute aussi bien verbale que physique avait commencé entre Lou et Naruu qui avait décidé de traumatiser toute la classe. Lou avait foutu quelques bonnes branlée à Naruu et Naruu pouvait se vanter de lui en avoir mis des belles. Lou saignait aussi bien de la bouche de l'arcade et du nez, Naruu lui n'avait pas réussi à garder son uniforme intact comme Lou d'ailleurs. Mais Lou c'était différent. Hatsue poussa la porte, au début personn n'y fit attention, tout le monde était bien trop omnubilé par le combat qui faisait rage entre Naruu et Lou. Hatsue s'avança, lentement, elle flottait dans son pantalon, s'en était aussi triste que mignon. Puis une élève tourna la tête choquée, et murmura ce prénom interdit jusqu'alors. « Hatsue ... » Lou se retourna, lachant Naruu choquée de la voir ici. Debout dans l'allée centrale de l'auditorium. Naruu en profita pour lui asséner un coup de genoux dans les côtés puis s'arrêta quand il vit celle dont on ne prononçait plus le nom. Hatsue était tétanisée. Paralysée, choquée même. Lou descendit de la scène, et s'approcha d'elle. Silencieux, ne sachant même pas ce qu'il pourrait lui dire. Elle avait tellement maigrie. Elle semblait s'être laissé complètement allé, il ne pendait jamais la voir ainsi, elle semblait avoir eu enve d'illsutrer une souffarnce intérieure que Lou n'avait peut être pas imaginé si grande. Elle leva les yeux. « Je suis rentrée... » déclara t-elle faiblement.
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Ven 27 Avr 2012 - 16:36
Il la regarda choqué. Un instant en suspend. Elle le redécouvrait, fatigué, agressif, et là tout simplement surpris de la voir. Il resta silencieux et tout le monde les regardait. Hatsue se sentait épiée, et prit la main de Lou, ce contact le réveilla. Il avait regardé autour de lui cherchant quelque chose, mais il ne savait pas quoi. Il se reconcentra sur ce qu'il considérait comme une hallucination de son esprit qui manquait de sommeil. Elle lui prit la main, et ne demanda l'avis à personne pour embarquer Lou hors de l'école. Il la détailla, il trouvait étrange qu'elle porte un pantalon, c'était surement pour cacher qu'elle avait maigrie. Ses cheveux avaient poussés, on aurait dit qu'ils avaient aspiré toute la vie en Hatsue. Elle marchait devant, le tirant légèrement, elle n'avait pas une force herculéenne, elle plutôt relativement faible. Elle refusa se rester à l'Académie, les vautours de l'école sont toujours bien trop proche. Tous deux quittèrent les enceintes de l'école. « Si t'es une hallucination Hatsue, franchement j'aurais préféré t'imaginer plus en chair et moins vêtue... » Elle resta silencieuse. Elle n'avait pas voulue perdre autant de poids, c'était .. compliqué pour elle. Lou ne pensait pas à mal, et ne devait pas chercher à la blesser, il était sous le choc, ne sachant si ce qu'il voyait être vrai ou non, le contact d'Hatsue pourtant semblait si vrai. Il arrivèrent chez Hatsue. Dans l'ascenseur, elle ne quitta pas sa main, trop heureuse de le sentir près d'elle comme si sa punition était levée. Les portes s'ouvrirent et Hatsue guidait toujours Lou. Quand ils entrèrent, la pièce n'avait pas changé, la valise d'Hatsue était dans l'entrée. Elle le guida jusqu'au canapé où elle s'assit, Lou suivit le mouvement. Elle respira profondément. Elle devait faire le premier pas. Si elle voulait qu'il lui revienne, et qu'il se s'éloigne pas encore, il fallait que ce soit elle qui parle. Parce qu'elle avait entendu la musique. « Reviens, reviens moi. » commença t-elle qu'il ne la coupe pas, et elle priait pour qu'elle ne se trompe pas, qu'il ne se lève pas et parte, car elle en mourrait probablement. « Ne m'en veux pas, pardonne moi de tout avoir quitté, de t'avoir laissé avec tout ça, tu ne dois pas m'en vouloir, je peux plus vivre comme ça, laisse moi revenir vers toi, laisse moi m'endormir avec toi, laisse moi te voir lâcher prise, laisse moi voir ton amour pour la liberté, ne m'évinces pas pour je ne sais quelle pétasse, elle t'ont pas vu comme moi je te vois. Reviens, reviens dormir, reviens m'emmerder, viens me parler. J'ai trop souffert là bàs, le temps est trop long, les nuits sont angoissantes, elles sont longues, elle s'étire, je suis partie car j'avais tellement peur, tellement peur de ne plus pouvoir m'en foutre, de m'attacher à toi, j'ai eu peur que tu ne puisses jamais me pardonner pour ce que j'ai perdu. Je suis tellement fatiguée des nuits où je n'ai que pour compagnon que l'insomnie et ma culpabilité, dis moi que tu ne m'en veux pas, dis moi au moins quelque chose... » Elle reprit son souffle, elle lui lâcha la main, choquée de tout ce qu'elle venait de balancer d'une traite. Il l'a regardait, non il la fixait. Quoi ? Elle.. ? Que pouvait-il lui dire ? Il ne savait même pas. Elle était là devant lui. Elle était là, présente, et cette Hatsue c'était la même, mais elle était franche, elle venait de tout lui, peut être avait-il besoin de ça. Est ce qu'il lui en voulait ? Est ce qu'il voulait dormir avec elle ? Coucher avec elle ?
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Ven 27 Avr 2012 - 16:43
Elle avait baissé la tête, quelques cheveux suivirent le mouvement. Elle avait tout donné, tout balancé, tout dit, elle avait peut être oublié des choses, mais l'essentiel était là. Tout ne dépendait de ce qu'il lui dirait. Elle n'attendait pas des effluves de tendresse c'était Lou. Elle ne savait pas à quoi s'attendre, elle tremblait presque, ça faisait vraiment beaucoup d'un coup. Elle n'osait même pas lever la tête. Lou semblait ... réfléchir à ce qu'il pouvait lui dire. Il ne voulait pas qu'elle parte, mais il ne voulait être en couple, il ne pouvait pas lui offrir ça, il n'en était pas capable, pour plusieurs raisons, il ne pouvait pas. Mais « Je suis pas quelqu'un de fréquentable pour toi, tu m'as bien vu, tu devrais pas t'attacher à moi. Mais tu m'appartiens tout de même. » Elle releva la tête, et lui souriait faiblement. C'est trop tard de toute façon. Il ne la regardait pas. Elle avait relevé la tête pourtant, c'était bizarre, elle n'avait pas besoin de plus. Elle ne savait pas s'il n'était pas fréquentable. Elle n'en était pas sure. Elle ne pensait pas que ce qu'il disait était vrai. Mais elle s'en fichait au final. Elle se sentait tellement mieux, si bien. C'était comme si on lui redonnait un peu de lumière dans tout ce qu'elle voyait de terne. « Fais moi l'amour. S'il te plaît. » Il la regardait surpris . C'était surement la première fois qu'elle faisait une telle demande. Elle le regarda. Étais-ce trop lui demander ? Peut être était-ce son apparence, son physique si peu désirable. Elle pourrait comprendre ça, après tout, là où il y a avait des ronds et des formes, on sentait des creux et des angles. Il la regarda. Un instant, il attendait, parce que c'était pas tout les jours qu'elle demandait. Elle ne l'avait même jamais fait. Il s'approcha d'elle, et l'attrapa par les hanches, et l'allongea sur le canapé, décidément celle là... Elle défit seule les boutons de son gilet, puis de sa chemise, elle était haletante, tremblante, pas hésitante, mais elle ne savait comment il réagirait à la perte de poids, qui était bien plus flagrante lorsqu'elle était nue. La chemise ouverte, il vit, il vit ses côtes, la forme de la cage thoracique et son ventre plat, très plat. Lisse. La taille encore plus marquée et les hanches qui ressortaient un peu plus. Il défit le bouton du pantalon d'Hatsue, elle était déjà pas bien épaisse, mais là... Il restait silencieux, il fronça les sourcils, et plissa les yeux, ne comprenant pas bien ce qu'il lui était arrivé, pourquoi elle s'était infligé ça ? Étais-ce une partie d'Hatsue qu'il ne connaissait pas ? Il fallait croire que oui. D'Hatsue, il fallait avoir peur d'une seule chose, de ce qu'elle pouvait s'infliger. Sa mauvaise volonté et les autres choses, pouvait très bien être contournée, mais pas son inconscient qui pouvait définitivement la faire souffrir. Intrigué, il passa ses doigts sur les parties où les os étaient les plus apparent. Hatsue observait, les réactions, il ne semblait pas dégouté. Il ne lui avouerait certainement pas, mais il irait doucement... Elle ferma les yeux, et ses mains se glissèrent dans la chevelure de Lou, elle avait presque envie de redessiner les traits de son visage, elle commença, mais ... elle n'eut véritablement pas le temps, qu'elle du s'accrocher aux épaules de Lou, voilà quelque chose qui lui avait profondément manqué, les épaules de Lou illustrant les vas et vient, et cette espèce de mine concentrée... Ouais, c'était surement ça.

Pendant la nuit Hatsue se réveilla, il dormait là. Elle souriait et se redressa prenant sa chemise et le soin de ne pas réveiller Lou. Elle regardait autour d'elle et puis, depuis longtemps elle ouvrit le frigo, et s'installa à table. Elle avait faim, elle avait tellement, tellement faim. Elle mangea très tranquillement très concentrée sur ce qu'elle mangeait, reprenant le goût des aliments, et puis toujours cette éternelle canette qui trônait sur la table, un liquide rouge, sucré, bien chimique, au gout de fraises, de framboise et de cerises. Du moins la saveur donnait cette impression, Hatsue n'avait jamais cherché à savoir ce qu'il y avait vraiment dedans. Elle allait reprendre le poids qu'elle avait perdu. Elle regardait ce qu'elle avait commencé à manger et cette sensation... elle se sentait bien mieux, plus vivante, il fallait bien l'avouer, tout ça c'était ... grâce à lui ? Elle ne savait pas vraiment ce que tout ceci lui réserverait, mais, Hatsue savait qu'il fallait en profiter sur le moment. Elle aimait trop le voir dormir. Oui c'était peut être ça qu'elle préférait, qu'il dorme. Elle ne comprenait pas pourquoi il ne dormait pas. Et lui n'était pas prêt de lui raconter sa vie. Mais ça, elle le savait et ne le lui demanderait pas, elle préférait qu'il fasse la démarche seul, qu'il lui explique pourquoi tout ceci ? Pourquoi ces marques brunes sur sa peau, car elle savait beaucoup et si peu de choses sur lui. Elle soupira et engouffra une seconde crêpe. Après avoir fini elle regarda son ventre qui avait prit du volume cela la fit rire, et elle retourna dormir et se glissa entre le dossier du canapé et Lou. « Tu faisais quoi ? » demanda t-il en somnolant passant un main derrière sa tête. « Je mangeais » répondit elle. Cool.
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Ven 27 Avr 2012 - 16:48
Le réveil d'Hatsue se mit à sonner. Elle regarda à côté d'elle, Lou était toujours là grognant, ne voulant absolument pas se lever. Hatsue bailla, elle se frotta les yeux, s'étira, fit une grimace, regardant l'heure, il fallait qu'elle prenne son petit déjeuner, il fallait qu'elle se remette à manger, et à bien manger. La maigreur ça fait peur de toute façon, et elle n'avait pas envie qu'on lui pose trop de questions. Elle n'avait pas spécialement envoyé de nouvelles depuis son départ il y a un mois. Lou ne voulait définitivement pas bouger. Elle se leva la première et se dirigea rapidemment vers la salle de bain, où elle vit son reflet dans le mirroir et depuis un mois, elle avait bon espoir de s'en remettre. Elle se glissa dans la douche, retrouvant ses habitudes, puis elle sortit en peignoir et regardait si Lou était toujours la larve du canapé, à croire que oui. D'habitude le matin elle était plutôt à la place de Lou, en train de faire la larve dans son lit. Ils avaient dormis sur le canapé. Elle bailla et se prépara un petit déjeuner absolument monstrueux. Hatsue avait bien souvent tendance à trop se concentrer quand elle mangeait. Elle bailla, se gratta le nez, les cheveux encore mouillés, elle but du café, puis du jus d'orange puis du truc rouge dans la canette. Elle ne pouvait pas se passer de ce truc. Elle allait bien.

Lou émergea. Un débris humain, une larve, comment avait-il pu dormir aussi longtemps ? Aussi calmement et paisiblement, si tu le pousses, il glisse. Elle était où elle ? ça sentait le petit déjeuner... elle mangeait se disait il, il se frotta les yeux. Il dormait rarement, jamais vraiment tranquille, jamais vraiment ... apaisé peut être, toujours en alerte. C'était pas une situation vivable, mais c'était la sienne. Il n'en parlait pas, il ne voulait certainement pas en parler de toute façon. Hatsue au moins ne lui posait pas de questions sur lui, elle ne voulait pas tout connaître si ça signifiait de lui poser des questions et de transformer ça en interrogatoire. « un chocolat chaud. Et plus vite que ça. » déclara t-il la voix endormie. « Oh c'est mignon. Bouge ton cul, je suis pas ta bonne. Et met un truc sur ton cul. Pas de vision d'horreur dès le matin, t'es gentil. » Cette fille avait un problème de personnalité, comment pouvait-elle passer de ça ( image d'Hatsue qui lui balance tout ce qu'elle dans la tête ) à ça ( grande gueule ) C'était certainement la bouffe. Au final, il fallait peut être l'affamer plus souvent. Il haussa les épaules et se leva, ne portant rien. Comme s'il allait s'habiller tiens, des ordres, elle est devenue folle elle. Il s'avança, très serein, le cul à l'air. « T'es trop con. » soupira t-elle « Bouffe toi. » répliqua t-il et se servit du chocolat chaud instantané qui traînait dans un tiroir. « Ah c'est jupe aujourd'hui. Non au pantalon. C'est chiant à enlever. » déclara t-il en allant sous la douche.

Convoqués chez le directeur à la première heure, Lou et Hatsue durent subir le même traitement, pour Lou c'était une visite de routine. Le directeur ne savait même plus quoi lui dire à force de le voir ici pour différent motif : Retard, absence, insolence. Il ne pouvait pas le virer en plus. Il relevait le niveau de la classe malgré le fait qu'il ne foute rien. Hatsue passa ensuite, le directeur la rappela à l'ordre, lui rappelant que la France n'était pas l'Angleterre et que l'Académie DC-01 ne supporterait pas ce genre de comportement puérils et adolescents. Lou et Hatsue suivaient des cours de langues différents, ainsi Hatsue prit un autre couloir, Lou alla en russe, pourquoi avoir pris cette langue, aucune idée, pendant qu'Hatsue partit en cours de japonais, où elle croisa Mariko qui l'attendait. « T'as une mine dégueulasse Kyoku. » Hatsue regarda Mariko, de haut en bas. « Même avec un mine dégueulasse, moi au moins je me fais baiser. Poufiasse. » Mariko la dévisagea, dégoutée. Hatsue était encore très maigre, c'était pas en deux jours qu'elle reprendra les formes harmonieuses qu'elle avaient perdu. Mais elle portait quand même son pantalon d'uniforme, chose que Lou insulta violemment quand elle l'enfila. « Comment ça ? » interrogea Mariko tremblante de colère. Elle était prête à sauter sur Hatsue pour lui retirer le sourire en coin. Elle reprenait du poil de la bête cette Hatsue, et Mariko ne supportait pas l'idée que malgré ses efforts, Lou ne lui portait regard, malgré la jupe plus court, son visage frais et rosé. Hatsue, elle avait remit le pantalon de l'uniforme ( qui avait une coupe absolument sublime pourtant ) retroussé en bas, sa chemise portée de la même manière qu'habituellement et la cravate, son gilet était ouvert. Elle regarda Mariko. « Mais qu'est ce tu veux que je te dises Mariko ? Que malgré tous tes efforts embellir l'horrible base que tu as, tu n'as aucun mec potable dans ton lit ? Non ce serait cruel de ma part. » répondit Hatsue très sereinement. Elle savait que Mariko avait prit à son avantage la situation entre Lou et Hatsue et elle ne le supportait, elle ne supportait pas cette petite garce blonde sans saveur et banale comme pas deux. Mariko sauta sur Hatsue, qui après un cou de poing la poussa dans la trois marches d'escaliers qui séparait la classe de la cour.

Retour dans le bureau du directeur, Mariko, Lou et Hatsue. Lou ne comprenait absolument pas ce qu'il foutait ici. Mais apparemment c'était sa faute, partie. Sérieusement, pourquoi était il encore là ? Lou soupira, fatigué. Hatsue avait une série de griffures dans le cou et Mariko un magnifique œil au beurre noir. Les os des mains d'Hatsue avait au final été plus fort que les ongles manucurés de Mariko. Lou ne voulait pas être dans le bureau du directeur, mais il aurait certainement payé cher pour voir les deux filles se battre. Le directeur était excédée. « Bon, je suppose que Lou vous n'êtes en aucun cas responsable de tout ça. » déclara t-il. « Non. Mais j'aurais bien aimé les voir se battre. » répondit il un sourire en coin. Hatsue leva les yeux au ciel. « Mademoiselle Mariko, des témoins affirment que vous savez commencé, puis-je connaître le motif d'un telle violence au sein de notre prestigieux établissement ? » Lou retint un rire et resta parfaitement impassible. Hatsue en avait marre et avait faim et envie d'une canette. « Mademoiselle Hatsue qu'avez vous à dire ? » Demanda une nouvelle fois le directeur. « Rien, absolument rien. » , le directeur se frotta les tempes et leur demanda de partir. Il en avait marre de jouer les arbitres dans les histoires de cul de Lou Meister. En sortant du bureau, Hatsue décida d'en remettre une couche, histoire d'enfoncer Mariko. « Tss. t'es qu'un vide couille de toute façon. » Lou tourna la tête. Qu'elles se battent encore, on pourrait bien rigoler. « T'es qu'une garce Kyoku. » Oui oui. c'est ce que tout le monde dit. Mais pas ce que tout le monde voit, elle tourna les talons. Maintenant, c'était pas la peine de la chercher.
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Ven 27 Avr 2012 - 16:54
L'académie DC-01 était redevenu plus ... calme. Comme à son habitude, à la pause, Hatsue se dirigea vers les distributeurs, pour comme à son habitude, se paya une canette de ce truc sucré, elle l'ouvrit avec plus de volonté que de force toujours physiquement peu productive, elle but une gorgée, et Lou était déjà là, devant elle la coinçant aux distributeurs. Elle continuait de boire sa canette, heureuse de ressentir enfin ce liquide glisser joyeusement dans sa gorge. Lou, la regarda, un sourire en coin, il imaginait encore deux filles se battre pour sa virilité, il se sentait mâle dominant, il adorait ça. « Je t'avais dis de mettre ta jupe ce matin. » déclara t-il avec un air faussement énervé.Elle le regarda, haussa un sourcil et bu une nouvelle fois. Elle leva les yeux vers lui. « Je t'avais dis de foutre un cul sur ton ce matin. Comme quoi on peut pas tout avoir dans la vie. » Elle lui fit un sourire poli. De loin, on aurait dit une conversation tout à fait banal, mais la situation allait bien vite dégénérer, parce que de toute façon ça dégénérait tout le temps quand ils étaient tous les deux, que ce soit à cause de Lou, ou à cause d'Hatsue. « Tu détestes Mariko, t'as peur que je l'ai baisée hein ? » Elle buvait sa canette et le regardait du coin de l’œil. Qu'est ce qu'il lui préparait ? « Faut croire que non, vu la tête qu'elle 'a fait. » répondit elle en baissant la canette. « Je l'ai sautée. » Il croisa les bras et s'adossa sur le distributeur, il mentait comme si respirait. Mais alors pourquoi il lui mentait ? Elle le regarda, elle resta impassible, mais elle avait presque envie de lui cracher à la figure, non, elle n'en pas presque envie, elle s'était retenue de lui cracher le contenu de sa gorgée à la figure. Il l'a dégoutait. Elle avala une gorgée pour calmer son envie de lui coller la canette dans l’œil. « J'espère que t'as kiffé. » répliqua t-elle, elle se sentait conne. Mon dieu qu'elle se sentait stupide d'avoir pu espérer quoique ce soit. « Carrément, elle avait des formes généreuses. T'es heureuse d'être là ? » déclara t-il en reluquant le corps mince d'Hatsue. Elle but une gorgée et cette fois ci, elle la lui cracha à la figure. Il s'essuya le visage très calmement, ce qui même étonna Hatsue. « T'es sure ? » dit il interrogatif, posant sa main sur la canette d'Hatsue, qui voulu récupérer la canette. Il l'énervait. Ce qu'il venait de lui dire la mettait mal à l'aise, elle ne pensait pas qu'il lui sortirait ce genre de choses. « Oh oui c'est super, Mariko et Lou couchent ensembles et après tu me baises. J'en ai de la chance youpi. » dit elle avec un enthousiasme et un sourire bien faux. Elle préférait l'ironie et le cynisme. Parce que là, elle avait juste envie de rentrer chez elle. Elle avait plus envie de le voir, plus envie même qu'il la touche. Il l'attrapa par la taille, fermement et la plaqua entre le distributeur de sucreries et celui de boisson. Elle restait impassible, froide, il l'embrassa pourtant, et dieu sait si elle aimait qu'il l'embrasse. Mais, elle n'avait qu'une seule chose en tête : Mariko, aussi. Mariko, aussi, Mariko, elle aussi il lui avait fait ça. Et elle ne pouvait pas plus. Elle lui cracha qu'elle était froide comme un serpent et qu'elle n'avait pas envie de lui. Mais il insista. Elle lui versa la contenu de la canette, dégoutée, énervée, blessé et franchement elle se sentait conne. Il la lâcha, contrarié, mais sérieux, mais alors elle... Elle retrouva le sol, elle venait de gâcher une canette, et sa journée était déjà foutue.

Il lui tourna la dos et appela Mariko, c'était de la provocation pure. Elle le regarda, malgré qu'il lui tourne le dos, et elle vit Mariko, rouler des hanches et sortir de la salle de cours, il l'attrapa par les hanches, et l'embrassa d'une manière... Hatsue retint alors un haut le cœur et une atroce envie de vomir, elle l'entendit lui dire qu'il lui avait manqué, mais surtout qu'il avait envie d'elle. Mariko colla sa généreuse poitrine contre le torse de Lou, et Hatsue partit vomir, pour retourner en cours. Elle était en cours, mais elle savait, elle savait et tout ceci la mettait dans une situation qu'elle détestait, elle voyait bien les regards des autres dans la classe. Du genre, tiens c'est Mariko aujourd'hui. En sortant de cours, elle le croisa, elle ne voulut même pas croiser son regard dégoutée. « Tu as récolté ce que t'as semé. » Cette parole la glaça, elle resta impassible, ne voulant même pas lui répondre, car elle était certaine que ses paroles dépasseraient sa pensée et qu'elle était capable de le laisser plus qu'elle ne pouvait se blesser. Elle ne le regarda pas. Elle avait espéré, et elle s'était écrasée, en faisant ça, il avait piétiner tout ce qu'elle lui avait dit le jour de son retour, elle se sentait tellement mal. Elle n'alla pas au cours suivant et rentra directement chez elle sans poser de question, sans se retourner, elle avait même l'impression d'être salie. Lou se cala sur le toit. Et piqua un somme, à l'ombre, il faisait beau ce jour là. Il marmonna pour lui même comme à son habitude, personne ne savait vraiment ce qu'il pensait, il était bien trop complexe, et ne disait quasiment rien, il resta sur le toit, séchant les cours. Les élèves commencèrent à s'habituer à ne pas voir Hatsue ou Lou, si l'un ou l'autre n'était pas là, les professeurs aussi. De toute façon, plus personne ne leur disait rien. Lou se redressa et se rendit chez Hatsue.

Elle avait passé sa journée, allongée sur son lit double, à regarder le plafond, siroter ce truc liquide et sucré. Elle regardait le plafond, fermait les yeux et cherchait dans sa tête quelque chose qui la faisait rêver, un endroit un lieu, elle ouvrit les yeux, elle n'avait rien. Elle se redressa, bailla, s'étira et ouvrit la porte. Il était là, devant elle sans aucune gêne, affalé sur son canapé, les mains dans les poches, à attendre elle ne savait pas quoi. « Mais dégage, mais Casse toi, je veux pas te voir ! » il soupira, fatigué, il se redressa rapidement, se leva et se mit en route. « Je me suis vengé, c'est tout. » Elle se retourna, elle le regarda, scandalisée, outrée, et tous les synonymes proches de ce sentiment. Il l'a faisait souffrir pour se venger. Elle avait raison d'avoir peur de ce qu'il pouvait lui faire, de ce qu'elle pouvait vivre. « Tu ... tu t'es vengé ? » commença t-elle abasourdie« MAIS PUTAIN DE QUOI TU T'ES VENGÉ ? » continua t-elle en hurlant quasiment. Il se retourne, s'arrêtant à la porte. « Pourquoi tu m'as repoussé ? » lui demanda t-il sur un ton qui ne se voulait pas neutre. Elle le regarda. Pourquoi ? Parce qu'il avait couché avec cette pute, parce qu'imaginer qu'il lui la toucher et la toucher elle après, lui donnait des sueurs froides, Parce qu'au final, elle pensait qu'il avait un minimum de considération pour elle mais à voir ce qu'il faisait, elle en doutait. « Tu t'es fais sucer par la première poufiasse à gros seins parce que je t'ai repoussé ? » se répéta t-elle à voix haute. « C'est une blague ? » demanda t-elle avec un rire nerveux, presque incontrôlable. « Tu m'as repoussé, pas ma faute. » répéta t-il. « Je m'en fous de Mariko et des autres. »A parce qu'en plus c'était celle D'Hatsue ? C'était elle qui s'était foutu la dedans toute seule comme une grande. Il l'attrapa par la taille, et plongea son nez dans son cou pour respirer son parfum. Dégoutée, elle eut du mal à ravaler sa salive ainsi que sa colère. « Tu m'as blessée, c'est pas ta faute ? C'est la mienne ? Elle t'as forcée ? ... je me sens mal.. » Elle se sentait défaillir, elle était dégoutée, elle se sentait comme toutes celle qu'il avait baisées, et c'était le pire. Il la soutint et l'accompagna jusqu'au canapé, elle prit son visage entre ses mains. « L'idée même qu'elle puisse t'avoir dans la bouche me tue. » Il l'a fixait, et se rapprocha d'elle. « Hatsue. » commença t-il. « Embrasse moi. » Elle ne bougea pas, et dans sa tête, elle ne s'entendait que dire : Prouve lui, prouve lui sa connerie, montre lui que toi tu n'es pas comme les autres, fais toi violence, bats toi contre lui, montre lui que tu es là. Elle se le criait, et d'un coup, elle se redressa, l'attrapa violemment par la mâchoire et l'embrassa avec une violence non contenue. Leurs dent s'entrechoquaient, elle voulait le marquer, mais pour une fois, elle lui montrerait, elle lui prouverait sa faute, à quel point il avait été con. Il la serra, appréciant la violence dont elle faisait preuve. Elle tira sur sa cravate pour la lui défaire, elle lui retira sa chemise ne faisant sauter plusieurs boutons, elle s'en foutait, il l'a laissait faire, extrêmement calme. « Des formes généreuses hein ? Con. » Elle retira son pantalon, puis le sien, maugréant que c'était putain d'emmerdant ces trucs. Il répondit qu'elle avait été « prèv'nue » Elle le fit taire à nouveau en lui mordant la lèvre inférieure. Elle n'eut aucun mal à s'empaler sur lui, le souffle coupé et court, haletante, mais sans aucune hésitation. Et jusqu'à pas d'heure cette situation s'étira et s'étira et s'étira encore, Ils firent l'amour avec la ténacité, Hatsue semblait tenir à ce qu'il comprennes quelque chose. Exténuée, elle se laissa enfin tombée sur le lit.

Durant la nuit, elle ouvrit les yeux d'un coup, regardant le plafond, elle se redressa, ramenant ses genoux à sa poitrine, puis elle quitta le lit où Lou semblait dormir, elle enfila une chemise qui traînait et se dirigea vers la salle de bain, où elle regarda son visage, ses bras, qui reprenaient certes de la couleur et de la chair, mais elle restait maigre, et elle avait le teint presque translucide. Elle passa sous la douche. Elle en avait besoin. Elle retourna se coucher. Et lui attrapa la main. « Demain je la saigne. » murmura t-elle en se recalant contre lui. Cool. Il fallait surtout qu'il assiste à ça.
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Ven 27 Avr 2012 - 22:22
Hatsue regardait l'heure défilé sur le réveil digital de sa chambre. C'était samedi, il était dix sept heure et elle 'ennuyait. Lou n'était pas passé pour la faire chier, et sa mère n'allait pas tarder à rentrer visite du mois, histoire de mettre l'argent sur le compte de sa vie qu'elle ne pouvait pas voir et repartir au bout de deux jours. Hatsue se toucha la paupière l'oeil le plus clair. Elle avait été étonnée que personne ne lui pose la question de son oeil plus clair que l'autre, elle ne s'en plaignait pas, mais c'était bien la première chose qu'on lui avait demandé dans son ancien établissement. Elle avait planté une paille dans une canette et regardait la télévision sans y porter véritablement internet. Elle portait son pyjama depuis le vendredi soir, et avait passé une majorité de la journée à regarder des films, des vieux films bien souvent. Elle regarda son téléphone portable, pas de messages de sa mère rien. Elle ne la préviendrait pas de son arrivée, ni de son départ. Dans la famille Kyoku, ça fait douze ans qu'on a arrêté de se parler. Hatsue est déjà bien contente quand sa mère daignait lui dire bonjour. Elle préférait quitter l'appartement bien trop grand pour une seule jeune fille comme elle, elle vivait très aisément, sa mère gagnant très bien sa vie, et surtout depuis qu'Hatsue et sa mère avait touché l'héritage et l'assurance vie du père d'Hatsue. Elle voulait pas croiser sa mère, alors elle décida de bouger. Elle prit une douche rapide, durant cette même douche, elle se demanda si elle pouvait passer chez Lou, elle haussa les épaules, et se persuada que de toute façon, s'il pouvait se pointer chez elle à n'importe qu'elle heure de la nuit ou du jour, elle pouvait bien lui rendre visite un après midi de week end. Elle coupa l'eau, bien décidé à aller le voir. Mais sérieux, pourquoi t'as des envies comme ça ?

Elle enfila un sweat blanc sans capuche avec un énorme donut au glaçage rose un peu grand, une jupe relativement court, on avait l'impression d'un bandeau avec le sweat, donc si c'était court, une paire de collant et ballerines de la même couleurs que le donut énorme sur son sweat, elle prit son sac, laissa ses cheveux sécher, elle les laissa donc libre. Elle mit du temps à se souvenir du chemin pour aller chez Lou n'y étant allé qu'une seule et unique, mais elle se souvenait d'un détail qui lui permettait de retrouver son chemin. Elle arriva devant un immeuble, et reconnut l'endroit où Lou l'avait emmenée la première fois qu'ils avaient couché ensemble. La concierge voulut bien lui ouvrir la porte, en lui demandant qui elle venait voir, elle regarda Hatsue étrangement quand elle lui répondit qu'elle venait voir Lou Meister.

Au 4ème étage, dans l'appartement du fond on entendait des hurlements de colère, c'était pas des cris, ça portait dans tout l'étage, on pouvait dire que ça portait à l'étage, on savait qui y vivait mais personne ne savait ce qu'il s'y passait, tout ce qu'on avait c'est que Lou et son père vivait ici, et qu'il n'avait pas une relation père fils très complice. On comprends mieux pourquoi la concierge avait eu des billes à la place des yeux, c'était pas tous les jours que les Meister avait de la visite. Dans l'appartement du fond, les insultes fusaient toujours plus violents allant du du moins pire à ce qu'il y avait de pire. Lou et son père pour la énième fois s'engueulaient. Mais c'était pas des trucs simples, et calmes, c'était compliquée et d'une rare violence, aujourd'hui, c'était une violence verbale et ça faisait des heures que ça durait. Les deux hommes ne se supportaient pas. Personne n'osaient venir leur demander de faire moins de bruit, si un père pouvait frapper son fils, alors il pouvait frapper n'importe qui. Hatsue prit l’ascenseur et monta au quatrième étage comme lui avait indiqué la concierge, qu'elle avait trouvé d'ailleurs fort aimable. Elle ne savait pas vraiment comment elle serait accueillie, mais de toute façon, elle était bien décidée. Quand elle arriva au 4ème étage, des bruits de verre brisée résonnaient dans tout le couloir de l'étage, elle regarda sur les sonneries, Meister... Meister ... Et elle se rapprochait un peu plus de bruit à chaque fois. Elle se trouvait devant la porte, quand la porte s'ouvrit, elle vit Lou, d'abord de dos qui insulta une dernière fois son père de « Bâtard ! », claqua la porte et se retourna tombant nez à nez avec Hatsue. Mais bordel qu'est ce qu'elle foutait là celle ? Il la regarda avec de grands yeux, ne comprenant venant pas comment elle avait pu arriver jusqu'ici. Il l'a prit pas le bras et l'embarqua loin des cris de son père résonnant encore dans l'appartement malgré que Lou soit partit. Hatsue se laissa faire, mal à l'aise d'être arrivée à l'improviste au mauvais moment. Ce qu'elle ne savait pas c'est que c'était toujours le mauvais moment chez Lou.
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Sam 28 Avr 2012 - 13:20
Hatsue resta silencieuse tout au long du chemin où Lou la tenait par le bras. Ils prirent d'abord les escaliers et non l’ascenseur, puis ils quittèrent la cour intérieur, passèrent devant la concierge, qui elle se doutait bien que ça allait se terminer comme ça, Lou quittait toujours l'immeuble, peu souvent son père. Hatsue regardait Lou se dos, et marchait au même rythme que lui, c'est à dire dire vite. Elle se remerciait d'avoir opté pour le plat et non pour les talons, qu'elle portait souvent le week end. Il ne s'arrêta pas, il continuait son chemin, ne pipant toujours pas un moment, il continuait de marmonner pour lui même, mais Hatsue n'entendait pas avec le bruit du métro aérien et des voitures sur la voie rapide. Il ne l'avait pas engueulée, il n'avait rien dis. Elle l'entendait entre deux voitures maugrée un : « Connard.. » mais c'est tout. Elle en déduisait qu'il parlait de son père. Hatsue au final ne savait rien de lui. Et Lou ne savait pas grand chose d'Hatsue, non plus. C'était comme si entre eux, il n'y avait pas de problèmes autre que ceux qu'ils se créaient tous les deux. Mais d'un côté il y avait la mère d'Hatsue et de l'autre le père de Lou. Elle restait silencieuse, il ne la regardait toujours pas et quand selon Lou il furent assez loin il s'arrêta d'un coup. « Si tu veux pas m'en parler n'en parlons pas, mais reste pas silencieux comme ça... » il ne disait toujours rien, et il lui lâcha le bras. Elle trouvait cette situation gênante, pour elle et surtout pour lui. Hatsue n'aurait jamais du être là, mais qu'est ce qu'elle faisait là de toute façon. Il haussa les épaules. Elle s'assit sur la rembarre d'un muret et l'attendit. Attendait qu'il se décide à dire quelque chose à faire quelque chose, quoique ce soit, car cette expression sur son visage Hatsue la voyait pour la première fois. « Ma mère elle se laisse faire par ce type... Elle est trop conne ... Par ce pourri qui n'est pas un père pour moi. ». Elle le regarda, il semblait comme gêné de parler de ça à quelqu'un, surtout à elle qui se moquait de lui habituellement, toujours la phrase pour le casser. Elle ne disait pourtant rien, elle ne souriait même pas. « Mais je l'aime bien ma mère.. »

La vie de Lou était un bordel. Un vrai bordel, dont personne ne connaissait la cause véritable. Sauf lui. Et Hatsue qui maintenant se doutait que son père n'était pas étranger à cette vie où régnait la mal chance. Elle ne comprenait pas, il avait du mérite. Il aimait la vie, même si celle ci était une garce avec lui. « Elle le sait ta mère que tu l'aime ? » lui demanda t-elle simplement. Elle restait assise sur le muret, balançait ses jambes. « Non.» répondit il les mains dans les poches. « Pourquoi ? » murmura t-elle en se levant d'un bond. « J'sais pas. » Elle s'approcha et lui prit le bras. « Allez viens. Restons pas là. » dit elle en l'embarquant. Elle l'éloigna de chez lui. Elle fit un détour pour s'acheter un canette de ce truc sucré et qui pour l'humain lambda serait bien trop sucré, elle gardait toujours son bras. Puis ils arrivèrent chez Hatsue comme d'habitude. Il devraient s'y installer si c'était pour finir la aussi souvent, elle déposa ses affaires, ses clefs son sac, retira son sweat, dégagea sa nuque. Il s'approcha d'elle et l'attira contre lui en l'attrapant par la taille.

La porte s'ouvrit, un bruit de clefs quelqu'un avait la clef de chez Hatsue ? Il se redressa, il était à peine 20heures. Il secoua Hatsue qui lui demanda de la laisser dormir. Elle entendit à son tour la bruit des roulettes des valises de sa mère qui était rentrée d'elle ne savait pas trop où. Hatsue d'un milieu aisé, très même, aimée six ans de son existence, elle en avait dix huit. Elle grogna, refusant tout commentaire et resta silencieuse, décidément aujourd'hui c'était la journée des rencontres des parents. « C'est ma mère. Laisse tomber. » Elle se retourna sur le dos et soupira longuement. Sa mère. Chacun avait un sujet sensible. Hatsue, c'était sa mère. Sa mère ne l'aimait pas. Elle l'avait aimée à cause du père d'Hatsue, parce que c'était lui qui voulait des enfants. La mère d'Hatsue n'avait pas la fibre maternelle, loin de la même. Mais pour celui qu'elle avait tant aimé, elle voulu croire qu'elle en était capable. Erreur horrible. Lou regarda Hatsue, ne sachant pas se comporter avec les mères, il ne comprenait même pas l'attitude désinvolte de celle ci face à sa mère. Il l'entendait déambuler dans l'appartement. C'est limite s'il ne lui demandait si elle avait vraiment une mère ? Au final, Hatsue vivait seule et ne parlait pas beaucoup de sa situation familiale. Elles ne se parlaient pas. « Reste là, j'y vais... » déclara t-elle en se levant, la tête baissée, elle enfila un short et un tee shirt rapidement, ouvrant la porte, Lou pu apercevoir que la mère d'Hatsue était une femme absolument magnifique, avec de lourds cheveux bruns ébènes, des yeux très fins. Hatsue ferma la porte, la mère d'Hatsue eut le temps d'apercevoir le jeune homme dans le lit de sa fille. « Encore un ? » demanda sa mère blasée, se foutant bien se savoir qui pouvait baiser sa fille, en regardant le courrier classé sur la table. « Bonsoir maman... » répondit Hatsue. Elle vit bien le frisson qui parcourut sa mère quand sa fille, utilisait le mot : maman. Elle ne fit aucun commentaire sur le fait que sa fille aie maigrie, ne lui demandant pas pourquoi, ne lui demanda comment pas se passait sa scolarité, elle ne savait même pas dans quelle école était sa fille. C'était elle, la mère d'Hatsue. Le drame de sa vie, même pas aimée de sa propre mère, de personne de toute façon. « Je vais dans ma chambre. Essaye de ne pas hurler. Je repars dans l'après midi de demain. Je t'ai laissé ce qu'il te fallait. Au pire tu as ta carte. Bonne nuit. » Elle quitta la cuisine.

Hatsue retourna dans sa chambre. Ce fut une conversation presque plus longue que d'habitude. Elle ne demanda pas son avis à Lou et se colla à lui. « On dit qu'une mère aime forcément son enfant. La mienne fait exception à la règle. » C'était une journée bien étrange. Bien étrange. Et Lou, ne sut même pas quoi lui répondre.
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Sam 28 Avr 2012 - 13:27
Les Olympiades des Académies Approchent à très grand pas. Et il faut trouver quatre réprésentants charismatiques qui représent l'académie DC-01, pas seulement pour les prouesses scolaires, mais aussi physiques. C'est aux élèvres de choisir leurs représentant, chacun pouvaient choisir qui ils voulaient. Un sondage, parmis l'ensemble des élèves, des noms se distinguaient plus que d'autre, et pas besoin de beaucoup de suspens le premier nom était celui de Lou, le second celui d'Hatsue, le troisième celui de Naruu et enfin, la dernière mais pas des moindres Hiyori. Première fois que vous en entendez parler ? Etonnant. D'un naturel relativement discret, c'est elle que Lou a vu lorsqu'Hatsue fit une fausse couche. C'est un autre chapitre un peu compliqué qu'on aurait du mal à résumer, que nous raconterons surement plus tard. Qu'est ce que les Olympiades des Académies ? Une sorte de concours de prestige, un évènement qui tient particulièrement à coeur aux directeurs des cinq établissements concernés, c'est un évènement important, médiatisé.

Sans grande surprise les représentants de DC-01 sont : Lou Meister avec 69% des voix féminines. Ce qui fait un sacré paquet. Il était très comptant que ce soit 69 d'ailleurs. Hatsue Kyoku avec 54% des voix masculines, belle performance. Hiyori et Naruu avaient été choisi pour grâce à leurspossibilités physiques et mentales. Mais il fallait du charismtaique, de quoi faire parler l'école. Les Olympiades se déroulaient cette année au Lycée Emily Stranghoode, réputée pour son département d'Art et de littérature. Le directeur du lycée Stranghoode s'exprime à la télévision parisienne, c'est un évènement très attendu, car il s'agit de montrer l'étendu du prestige de l'éducation Parisienne et française en général. « La 14ème Édition des Olympiades sont sur le point de commencer, c'est un évènement que moi même attends avec impatience, car c'est un évènement qui réveille les esprits. Voici là liste des participants dans l'ordre : Thomas Finick, Aline Kruger, Lou Meister, Nina Belami, Charlotte Starw, Hatsue Kyoku, Naruu Dragneel, Hiyori Arisato, Roxanne Corazon, Maxime Bouyser, Jean Flock, Guillaume Hoodstrag, Gabriel Anderis, Martin Delgado, Paul Jokpins, Raphaël Garry, Rosie Dron, April Jun, Elsa Whitetam, Juliette Goodyue. Nous leur souhaitons de représenter leurs établissement de la meilleure manière et bonne chance à tous !» Le discours s'arrêta, et Lou mit ses mains dans ses poches, blasé, chaque année c'était la même chose, et chaque année il se retrouvait à faire ça, alors qu'il aimait même pas l'Académie. Foutu règlement de merde. Hatsue s'était assise en tailleur et coupa le son de la télévision, laissant l'image et elle sortait les dossiers des concurrents, Lou regarda par dessus son épaules faisant des commentaires.

    Thomas James Finick

    Âge : 17 ans
    Établissement représenté : Lycée Stranghoode
    Commentaire : Jeune homme charismatique, très populaire auprès de ses camarades. Il est à la tête du club de tennis et brille dans des matières plutôt manuelles.



    Aline Galina Kruger

    « Âge 18 ans
    Etablissement représenté Lycée Stranghoode
    Commentaires : Jeune fille dynamique, elle se destine à des études d'Art, pour devenir artiste peintre. Sensible, elle aime la littérature. Elle s'est imposée concurrente en démontrant sa volonté à représenter son lycée.
    »



    Lou Meister

    « Âge 19 ans
    Etablissement représenté Académie DC-01
    Commentaires : Jeune homme très populaire auprès des jeunes femmes. Il ne semble pas vraiment se soucier des études malgré de vraies capacités. Il ne fait partie d'aucun club. Réputé pour avoir de bonnes qualités physiques et pour sa grande culture de l'histoire mondiale. Ne pas se fier à ses attitudes je m'en foutiste.
    »



    Nina Héloïse Belami

    « Âge 16 ans
    Etablissement représenté Lycée Katar
    Commentaires : En classe de première dans le lycée Katar. La jeune élève est très douée dans les matières scientifiques, elle se destine à des études de Chimie. Elle est très populaire auprès de ses amies. Elle est très reconnaissable à ses chevelures flamboyante, ce qui lui vaut le surnom de Flippy.
    »


    Charlotte Anne Starw

    « Âge 15 ans
    Etablissement représenté Lycée Katar
    Commentaires : Jeune, certes, mais elle rencontre un vrai succès auprès de la gente masculine possédant une personnalité adorable. Il ne faut pourtant pas se fier aux apparences, Charlotte est une compétitrice féroce. Elle pratique la danse classique à un très haut niveau.
    »



    Hatsue Kyoku

    « Âge 18 ans
    Etablissement représenté Académie DC-01
    Commentaires : Nouvelle élève de l'Académie, elle a tout de même réussi à s'imposer comme concurrente sérieuse. Passionnée de littérature, elle compte entreprendre des études de Sciences Politiques à Paris. Très populaire auprès de la gente masculine, elle se révèle aussi bien sensible que manipulatrice.
    »


    Naruu Dragneel

    « Âge 18 ans
    Etablissement représenté Académie DC-01
    Commentaires : Naruu est connu pour son tempérament calme et ayant un esprit très noble. Il est connu pour suivre scrupuleusement des règles de vies très strictes. Il possède de bien nombreux principes qui ne font pas l’unanimité tout le temps. Lou et Lui ne sont pas les meilleurs amis du monde.
    »


    Hiyori Arisato

    « Âge 17 ans
    Etablissement représenté Académie DC-01
    Commentaires : Discrète, et pourtant très populaire, il est parfois difficile de la cerner. Elle souhaite entrer dans la police. Elle a un sens très prononcé de la justice. Elle est populaire pour être un vrai soutien auprès des gens qu'elle rencontre et qu'elle ne connaît même pas très bien. Tout le monde dit que c'est une fille bien.
    »


    Roxanne Auriane Corazon

    « Âge 18 ans
    Etablissement représenté Lycée Saint Erlando
    Commentaires : Roxanne est très timide et ne sait pas vraiment pourquoi elle a été choisie par ses camarades. Elle est très intelligente est en faîte connue pour son style vestimentaire très pointu, ce qui lui vaut de nombreux compliments. Elle n'est pas connu pour son amour de la gente masculine bien au contraire.
    »


    Maxime Franc Bouyser

    « Âge 17 ans
    Etablissement représenté Lycée Saint Erlando
    Commentaires : Jeune homme d'une très riche et très ancienne famille Parisienne, il est l'élève le plus populaire de Saint Erlando. Il possède un caractère calme et très réfléchi, C'est un petit ami fidèle et un ami loyal. Il est en couple avec une des participante, April Jun.
    »


    Jean Karl Flock

    « Âge 18 ans
    Etablissement représenté Lycée Katar
    Commentaires : Jean est l'élève sportif, enthousiaste, populaire, drôle, toujours partant pour les aventures. Charismatique, il a obtenu une bourse pour une école aux Etats Unis grâce à ses aptitudes sportives. Il a vécu une rupture très difficile. Et a décidé de se consacrer à ses amis et des études.
    »


    Guillaume Ulric Hoodstrag

    « Âge 16 ans
    Etablissement représenté Lycée Katar
    Commentaires : Pas d'informations suffisantes.
    »


    Gabriel Henry Anderis

    « Âge 18 ans
    Etablissement représenté Lycée Saint Erlando
    Commentaires : Gabriel est un surdoué. Aucune réponse de peut lui échapper. C'est un tombeur, un don juan. Il est très actif au sein de la vie scolaire. Il est président du comité des élèves. Il aime la musique et souhaiterait devenir producteur. Une vocation qui ne plaît à son entourage espérant pour lui une carrière dans un domaine moins aléatoire.
    »


Lou regardait surtout les filles. Et soupira, en ayant un peu marre de devoir lire tout ça. « Je la dépucèlerais bien la petite Charlotte là.» Déclara t-il avec un sourire en coin s'approchant du cou d'Hatsue qui continuait de lire. Elle soupira. « Je me taperais bien Gabriel. Il m'a l'air très .. endurant. » Elle eut un rire narquois. « Arrête de lire ça j'ai envie de baiser. » Il posa sa main sur son sein, avec son sourire narquois. « Viens donc, je t'attends. »
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Sam 28 Avr 2012 - 13:28
Hatsue se releva du lit, Lou était fier de lui. Elle avait quasiment crier. « Demain tu me supplieras d'arrêter tellement t'en pourras plus. » Elle lui donna un coup et partie rechercher son dossier. Après tout, Hatsue était une manipulatrice et dans chacun des commentaires elle pouvait trouver les failles qui lui permettrait de jouer avec les faiblesses. Sa faiblesse à elle ? Ça ne pouvait pas être Lou, pour deux raisons : Lou pour ce qui est des faiblesses à trop d'orgueil, donc le blesser n'est pas une chose aisée. Et puis s'attaquer à Lou, la rendrait plus psychopathe qu'autre choses. Elle retourna dans le lit, se cala entre le matelas et le draps et continuait de feuilleter les dossiers. « Oh celui là est sexy. Toi ... mais en moins bien. Ca pourrait suffire pour un coup dans un coin. » Il se redressa et regarda à son tour. Il maugréa : Te fous pas de ma gueule pétasse.

    Martin James Delgado

    « Âge 19 ans
    Etablissement représenté Lycée Olökoges
    Commentaires : Rebelle notoire du lycée, il n'est pas un bon élève, il est insolent, vit seul, et compte bien gagner pour gagner. C'est un fonceur, plus fonceur que réfléchi, il agit avant de penser. Le rebelle que toutes les filles aiment n'est pas là pour gagner pour l'équipe mais bien pour sa fierté personnelle.
    »


    April Judith Jun

    « Âge 17 ans
    Etablissement représenté Lycée Erlando
    Commentaires : April est anglaise. De la bonne société britannique. En couple avec le jeune et très populaire Maxime, il forme le couple populaire du lycée. Elle compte retourner en Angleterre, car elle est accepter dans la très ancienne et très prestigieuse Oxford. Très intelligente, elle est une très bonne représentante du lycée Erlando et du prestige qu'ils veulent illustrer.
    »


    Paul Marc Jopkins

    « Âge 16 ans
    Etablissement représenté Lycée Olokoges
    Commentaires : Le petit génie de l'informatique, il pourra tout trouver sur votre compte, même ce que vous voudriez cacher. C'est une génie. Il a déjà créer de nombreux logiciels pour des consoles informatiques et électroniques. Il a surement quelques lacune physiques.
    »


    Raphaël Ethlerbert Garry

    « Âge 15 ans
    Etablissement représenté Lycée Stranghoode
    Commentaires : Un joli petit homme qu'est Raphaël, humble, et discret, il est le garçon le plus populaire des secondes du lycée Strangehoode. Il prit l'annonce de son arrivée dans les Olympiades comme une chance de montrer ce dont il est capable.
    »


    Rosie Fleur Dron

    « Âge 16 ans
    Etablissement représenté Lycée Olokoges
    Commentaires : Elève en Première, Rosie est dyslexique ce qui l'handicape, alors qu'elle est très intelligente. Rosie est timide discrète et surtout très sensible. Elle possède pourtant une volonté très forte. Mais fragile. Pourquoi elle a été choisie ? Parce qu'elle est mignonne.
    »


    Elsa Martine Whitam

    « Âge 16 ans
    Etablissement représenté Lycée Stranghoode
    Commentaires : Nouvelle venue. Populaire, enthousiaste pour tout. Elle aime tout. Elle saute partout, c'est un phénomène, elle est exubérante, adorable et très gentille, trop peut être. Généreuse, ouverte.
    »


    Julette Virginia Goodyue

    « Âge 17 ans
    Etablissement représenté Lycée Saint Erlando
    Commentaires : Très populaire auprès des garçons. Très très populaire. Elle possède un visage de poupée extrêmement pertubant. Elle aime plaire, elle aime charmer, et usera de ses charmes pour arriver à ses fins. Peu importe les moyens, elle ira jusqu'au bout.
    »


Le lendemain matin. Après que Lou est épuisée Hatsue toute la nuit. Elle ne savait pas où il pouvait trouver tant d'énergie à 3 heures du matin. Elle prit une douche rapide et s'habilla, enfilant l'uniforme de l'Académie, comme il était convenu dans le règlement, pour la rencontre entre les participants, chacun devait montrer son appartenance à son établissement en portant l'uniforme réglementaire, parfaitement porté. Ce qui voulait dire pour Lou devoir serrer sa cravate et boutonner sa chemise. Ce qui était bien entendu hors de question. Comme s'il était capable de rentrer dans les rangs pour une histoire de trois boutons. Chacun devait aussi apporter une tenue de sport et de quoi se doucher, puisque les activités démarraient dès l'après midi. Les participants étaient logés dans un hôtel, afin de permettre aux équipes de tournages qui suivaient l'évènement. Les caméras avaient pour autant interdictions de faire entrer les caméras dans les chambres des participants, mais les autres lieux étaient entièremen libres. Lou repassa rapidemment chez lui pour chercher quelques affaires et retrouva Hatsue devant l'hôtel. « On se retrouve dans ta chambre . J'ai envie de baiser. » Elle leva les yeux au ciel. Ce mec avait une libido hors du commun des mortels. C'était pas possible, il était jamais fatigué. Il voulait tout le temps baiser. Hatsue en était parfois même fatiguée. Elle entra. Dans un premier temps, ils devaient tous déposer leur affaire et descendre dans le grand hall. Lou coinça Hatsue dans le couloir. « Mais Lou putain, t'es jamais fatigué ? » Il fit glisser sa main le long de sa cuisse pour lui soulever sa jupe. Dès qu'il la touchait, c'était foutu de toute façon, elle l'était : Accro. Elle le laissa faire pourtant, gardant ses mains le long du corps. La seconde main de Lou se glissa sous la chemise d'Hatsue. Un raclement de gorge vint déranger Lou, qui lança un regard foudroyant. Oh Juliette. Lou eut un sourire en coin. Que le jeu commence. Ses mains quittèrent Hatsue en effleurant sa peau, celle ci tourna la tête vers la jeune demoiselle, qui regardait Lou avec insistence. Juliette, la fameuse Juliette. Lou la regarda de haut en bas. Elle était pas dégueulasse. Et Juliette, elle, elle avait de Lou. ça se lisait dans ses yeux et ils criaient braguette. « Elle a bouche à pipe celle là.» déclara t-il en la regardant passer pour descendre. Hatsue se dégagea. « T'as plus qu'à baisser ta braguette.» Il se tourna vers Hatsue. Elle était jalouse. Il adorait ça.

Hatsue descendit à son tour. Elle savait déjà que la Juliette état une nymphomane notoire de la même trempe que Mariko. Lou la suivait les mains dans les poches, avec un sourire en coin. Et ils s'asseyèrent à côté de Naruu et Hiyori. Hiyori et Hatsue se saluèrent cordialement, Alors qu'entre Naruu et Lou ... c'était le calme, le froid le plus total. Ils se jaugeaient tous, on aurait dit un remake de Battle Royale. Hatsue fixait Gabriel. C'était lui qui serait le plus difficle à faire tomber. Charlotte la vierge serait la plus simple à faire tomber au contraire. Il se trouvait dans une sorte de salle de projection. Juliette s'asseya à coté de Lou. Hatsue tourna la tête au ralentie comme ... choquée. Il devait voir des vidéos sur les différentes épreuves aussi bien physique d'intellectuel. Durant la projection, une main s'égara sur le pantalon de Lou, et c'était pas celle d'Hatsue, qui le remarqua tout de suite, vu qu'elle ne relâchait pas Juliette des yeux. C'était pas une nymphomane, c'était une actrice porno. Hatsue attrapa la main de Juliette et y planta ses ongles jusqu'au sang, tout en restant tournée vers l'écran de projection. Elle ne lâcha pas la main, malgré les plaintes de la jeune fille, et Lou ? Il jubilait, oh si vous saviez comme il jubilait. Hatsue continua jusqu'à ce qu'elle tétanise. Lou était désormais excité, mais excité. Ce genre de petite bataille ne le laissait jamais indifférent. Hatsue lâcha la main de Juliette et se pencha vers elle. « T'as compris, ou tu veux que je fasse la même chose avec ta face d'actrice pornographique ? » Juliette gardait sa main, qui saignait véritablement. « Hatsue. Je vais te prendre à même le sol. Tu vas pas comprendre. » Hatsue croisa ses jambes et se redressa. Voilà une bonne chose de faîte. Lou prenait de plus en plus à prendre par à ce jeu. La suite s'annonçait piquante.

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Sam 28 Avr 2012 - 13:32
La projection se termina. Lou se leva. Attrapa Hatsue par la main qui fit un petit bye bye à Hiyori avec qui elle s'était parfaitement entendue, et avait bavardé durant la projection. Lou l'embarqua et comptait bien la prendre ici, maintenant et tout de suite. Elle se laissa embarquer, sachant que ça allait être ... très violent. Il avait pas envie d'attendre jusqu'à monter dans sa chambre, et trouva l'endroit le plus ... étrange du monde, mais en même temps un endroit vieux comme le monde : Un sorte de cagibi. Pour le lieu Lou n'était pas bien compliqué, il la plaqua contre la porte fermée, et s'approcha d'elle très rapidement, respiration haletante, au bord du gouffre, Il reprit avec plus d'intensité là où ils s'étaient arrêté quand il avait été interrompu par Juliette. Il regardait les réactions d'Hatsue se sentant ... puissant, fier, après avoir glissé sa main dans ses sous vêtements. Elle se colla au mur, le regard d'Hatsue fit la même expression que celui de Lou, il n'eut pas un effort énorme à faire, et la prit, contre le mur, avec ... détermination, c'était pas le mot. Avec force, et une certaine forme de violence. Il lui souleva la cuisse en lui attrapant fermement le genoux.

Après ce petit entracte très agité. Hatsue et Lou sortirent du placard à balais. Lou satisfait, et Hatsue récompensée par un orgasme particulièrement bon dans un placard à balais. Elle se recoiffa, sérieusement, cette Juliette elle n'avait pas intérêt à s'approcher d'elle. Pas seulement de Lou mais d'Hatsue. Elle supportait pas son air arrogant, ah et puis quand elle a jouer avec la braguette de Lou, mon dieu, Hatsue avait fait preuve dans d'un grand calme en lui plantant ses ongles dans la main. La prochaine fois, elle lui sauterait dessus. Caméro ou non. Hatsue avait été arrêtée par les caméras qui les filmaient, et c'était bien la dernière fois qu'elle ne passait pour une furie, elle en avait rien à foutre. Elle monta dans sa chambre et se retrouva toute seule pour la première fois depuis ... assez longtemps, c'était ... bizarre. Elle se posa sur son lit et s'allongea, fatiguée, elle regardait le plafond rependant à tout ça, repensant à cette relation, pas un couple, pas n'importe qui non plus, elle se redressa et alluma la télévision. « C'est la premier jours, les participants aux Olympiades des Académies se rencontrent dans l'hôtel où sont logés durant les 4 jours d'épreuves aussi bien intellectuels que physique. Dans quelques heures, la première épreuve physique débutent, mais déjà on remarque des personnalités fortes se dégager. Il y a déjà Lou Meister que l'on voit pour la troisième année consécutive, accompagnée cette année d'une nouvelle Hatsue Kyoku, il forme un bînome que l'on pourrait considérer comme violent ? Oui, c'est certainement le mot vu que la jeune élève de l'Académie à fait subir à la jeune Juliette pour avoir tenter de fricoter avec Lou. Un lacérations violentes de la main. Quelque chose nous dit que les choses ne sont pas prêtes de s'arrêter surtout si l'on en croit le sourire de Lou et la réaction qu'il eut suite à la projection des différentes épreuves qui les attendaient. C'est à vous illustrée par le mouvement frénétique de la porte d'un placard à balais... [i]« Sérieusement... » Elle ne put pourtant se résoudre à éteindre, bien contente de pouvoir en apprendre plus sur les autres concurrents. Apparemment Juliette s'était consolée dans les bras de Martin. Ce qui fit sourire Hatsue. Aucune fierté cette garce. Elle se leva, augmentant le volume du son, il fallait qu'elle se mette en tenue de sport, apparement, c'était physique cet après midi. Elle enfila un mini short noir, presque outrancié, mais ni mignon pourtant., un débardeur blanc et enfila des baskets, elle tressa ses cheveux, qu'elle avait désormais brun, sa couleur naturelle et quitta la pièce. Elle retrouva les autres devant l'hôtel, une navette devait les emmener vers le lieu de l'épreuve. Chacun devait entrer dans la navette par binôme et Lou bien entendu se faisait désirer. Qui arriva en jogging noir, et tee shirt rouge, les mains dans les poches. « J'aime bien ton short. Il est court, il a l'air simple à enlever. » Ils montèrent ensemble alors dans la navette. Et attendirent l'arrivée sur le trajet, Hatsue s'était assise en tailleur et avait réussit à prendre une canette de son truc sucrée rouge. Elle termina la canette en arrivant.

L'épreuve consistait en une course d'endurance, agrémentée d'un relai. 10 équipes, donc deux fois plus de chance pour une des établissements de gagner. Lou se mit en position. Il était pas motivé. Il tenait le témoin dans la main, avec aucune envie de courir. Hatsue s'approcha, elle comptait bien gagner. Elle s'approcha de lui et lui murmura quelque chose d'à peine audible. Et lui mordait le cou. Ah, si elle le prends comme ça, il allait se démener pour avoir cette récompense, parce que ça, Hatsue ne lui avait jamais fait. Et il se demandait bien ce qu'elle valait quand elle descendait comme une grande sous la ceinture. Il eut un sourire en coin. Oh il fallait absolument qu'il sache, il fallait absolument qu'il sache. Non, c'était pas de l'enthousiasme, il se sentait prêt à lui faire le plaisir de baisser son pantalon, mais pas pour la pénétrer. Ah la garce, l'aguicheuse, elle savait comme lui parler. Hatsue se recula. Et PAN, la course continua, pas la peine de se presser, tout vient à point à qui sait attendre. Hatsue s'étirait, elle n'avait pas besoin d'échauffement avec ce qui lui avait fait Lou, mais il fallait être prévoyant. Juliette s'approcha d'elle, l'air provocante. « Je l'aurais. Je les ai toujours. Même pour une simple et unique fois. » Hatsue tourna la tête. Avec l'envie de lui donner une leçon qu'elle ne serait pas prête d'oublier. Mais Elle resta calme et lui montra son plus beau sourire. « Ta gueule. Y'en a ici qui essaye de gagner autrement qu'avec leur cul. T'es mignonne, on est pas copine, tu retournes t'échauffer le minou ailleurs. »

On voyait déjà arriver les garçons, Lou en tête, la foulée régulière et le sourire en coin. Dans sa tête il n'y avait que ce que lui avait promis Hatsue. Belle garce. Elle souriait à son tour fière de son coup, et attendit qu'il lui passe le témoin. Elle démarra, en foulée rapide, c'est partie.

« Vainqueur, L'académie DC-01, félicitation. Pour cette épreuve vous remportez 10 points. » Lou s'approcha d'Hatsue. « Allez Hatsue, tu vas te nettoyer la bouche et te tenir prête. » Elle eut une rire narquois. Et il reluqua sa poitrine, et son cul parfaitement mis en valeur par son short. Cette fille savait y faire, ça il n'y avait pas de problème. « Pétasse... »
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Sam 28 Avr 2012 - 13:34
Oh, l'Académie DC-01 était fière, oh oui très fière.

Hatsue prit les devants. Lou s'approcha d'elle. Lui rappelant ce qu'elle lui avait promis. Elle le regarda en coin, par dessus l'épaule, avec un sourire aux lèvres. Elle monta dans la navette. Arrivée à l'hôtel, Lou suivait Hatsue se très prêt jusqu'à s'enfermer avec elle dans la chambre de celle ci. Il la regardait, il la fixait avec insistance, défaisant l'élastique de son jogging. Elle le regardait, elle souriait de toute ses dents, c'était... bizarre. Elle s'approcha de lui et l'attrapa par le col, et le poussa sur le lit. Il la regardait, qu'est ce qu'elle avait ? C'était le sport qui la rendait comme ça ? La compétition ? Il allait certainement pas s'en plaindre. Elle se pencha vers lui, lui lécha le cou, lui retira son tee shirt, elle était ... bien aguicheuse dis donc... Et descendit, plus bas, plus bas plus bas ... « Oooh putain... » déclara t-il en se laissant tomber en arrière. Ouais, ça valait bien un peu de sport. Pendant la nuit, Lou se leva, quittant la chambre d'Hatsue qui dormait ben tranquillement. La garce, elle lui avait caché cette aptitude. Il remit son jogging et sortit torse nu, pour retourner à sa chambre. Il allait pas passer pour le petit copain qui dormait avec Hatsue, ça va pas non. Dans le couloir, il croisa Juliette. Ils se dévisagèrent. Elle le regarda de haut en large, il la reluqua. Franchement, Hatsue dormait. Elle était là. En Pyjama, ultra court, le sourire en coin. Pourquoi pas ? Il s'approcha d'elle, du cul pour du cul, il allait se faire du bien, c'était tout sauf dramatique. Cette pensé le fit tiquer. Qu'est ce que vient foutre le dramatique là dedans ? Il n'avait pas de compte à rendre à Hatsue ni à qui que ce soit. Mais depuis quand il se posait la question tu bien être d'Hatsue avant le sien ? Mais allo, on se réveille là. Il l'attrapa par la taille, vorace, et il l'a conduisit machinalement vers la porte la plus proche, la sienne. Il la baisa comme s'il se vengeait des pensées qu'il avait eu. Il la prit, le reprit, et Juliette savourait et resavourait sa victoire. Une longue journée les attendait, une très longue journée.

Hatsue se réveilla seule. Elle s'étira, se leva bien tranquillement. Elle alluma la télévision, regardant toujours l'émission qui au final, parlait d'eux, des Olympiades, elle avait aussi ce petit coté narcissique, qui faisait qu'elle aimait bien ce truc. Elle mit le son plus fort, pour écouter alors qu'elle était dans la salle de bain pour se rincer le visage, et se brosser les dents, surtout se brosser les dents. Bizarre avant de prendre son petit déjeuner, mais essayer de comprendre... Elle releva la tête. Ayant entendu quelque chose. Elle quitta la salle de bain, la brosse à dent dans la bouche. « De l'eau dans le gaz ? Il faut croire suite à la victoire éclatante de l'Académie DC-01 lors de la première épreuve physique, Lou Meister, premier représentant de l'Académie, a décidé de pactiser avec l'ennemi, une nouvelle histoire entre Lou et la jolie Juliette du lycée concurrent ? En tout cas, cet après midi, les concurrents se livreront à deux activités intellectuelles, l'un basée sur l'histoire et la seconde sur la culture générale des participants, souhaitons leur, bonne chance ! » Et là, ce que l'on voyait c'était Lou, torse nu, et Juliette dans les couloirs, l'attrapant par la taille et l'embarquant dans sa chambre. Hatsue n'était pas folle, ni même bête. Elle regarda l'écran..., les yeux mi clos, fatiguée, elle cracha le dentifrice et reposa sa brosse à dent. Elle refit son lit, et se prépara à descendre. Comme si de rien n'était. Digne. Terminée les discours, terminé. Elle enfila une robe bleue, plutôt courte, mais pas indécente, enfila des ballerines, elle déglutit difficilement, dégoutée, elle enfila un gilet long en grosse maille, laissa ses cheveux bruns tomber sur ses épaules. Elle ouvrit la porte de sa chambre, elle arrvia en bas, pour le déjeuner dans la grande salle, elle était la première. Elle fut rapidement servie et eut un sourire poli au serveur. Elle commença son petit déjeuner. Elle se savait filmée, épiée, elle ne pouvait rien faire, pieds et mains liés, elle restait d'une dignité exemplaire. Quand elle vit sa silhouette, elle se leva d'un coup. Même pas en rêve. Elle passa à côté de lui. Il lui effleura le bras. « Ne me touche pas. » Murmura t-elle sur un ton dégoutée. Elle avait croisé son regard deux secondes c'était suffisant pour qu'elle veuille tous les buter un par un, et surtout cette espèce de pouffe. Alors qu'elle arriva à sa chambre, Juliette sortit de la sienne, souriante, provocante, jolie, et surtout satisfaite d'un orgasme qui avait du être le seule de sa triste vie de nymphomane débutante. Hatsue ne tenait plus, elle fit volte face, et l'attrapa par le coup et la plaque contre le mur, elle eut un sourire mauvais. « T'es contente hein ? Je vais te frapper là où il t'a touchée, c'est un bon deal non ? » Il donna un coup dans les côtes, lui mit une série de gifles, Juliettte se mit à hurler, à pleurer, Hatsue ne put s'empêcher de lui donner un coup assassin entre les jambes. « Comme ça tu les garderas fermée poufiasse. » Elle fut arrêtée par Thomas Finick, le participant du lycée Stranghoode. Hatsue avait le regard mauvais et Lou arriva tranquille voyant Juliette au sol et Hatsue retenue non pas seulement pas Thomas, mais Gabriel, du lycée Saint Erlando. Il eut un sourire en coin. Il fallait avouer que voir se battre des filles pour lui c'était un peu le summum, fallait dire que ça l'excitait, un combat de filles pour lui. Il tourna la tête vers Hatsue, qui le fusillait du regard, Juliette gémissait au sol, Hatsue eut une geste de recul. « Ne me touchez pas, lâchez moi. » Elle se dégagea de l'emprise des jeunes hommes. « Qu'elle reste pas par terre comme ça, ou je l'achève tout à l'heure. » Elle rentra dans sa chambre claqua la porte fermement. Elle s'asseit sur le lit. Lou entra, sans frapper et s'approcha d'elle. « Tu me mets à son niveau. Si tu veux me baiser maintenant. Tu te trouves des capotes. C'est pas avec moi que tu testeras le tout dernier herpès génital à la mode. » Il s'approcha toujours, lui attrapa le bras fermement. « Je t'ai dis tu me touches pas avec ces mains qui l'ont touchée elle. ça me dégoute, Je te méprise. Tu me méprise. C'est dégueulasse. Tu m'as humiliée. Humiliée. »


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Sam 28 Avr 2012 - 13:35
Elle ne le regarda pas triste non. Elle en avait marre en faîte. Si elle devait le partager, si elle devait se résoudre à cette idée immonde, car au final, il n'était pas en couple. Il la baisera avec une capote. Point à la ligne, y'a pas à tortiller du cul pour chier droit. Il leur éjacule dedans s'il veut, mais elle certainement pas. Elle peur de peu de choses, mais alors les toutes dernières MST, non merci. Elle se décala de lui. Elle avait l'impression que cette scène se répétait, pareille pour Mariko. Dégueulasse. Trop bonne trop conne. Elle espérait avoir pété quelque chose histoire qu'elle doive garder les jambes serrées le plus longtemps possible. « Humiliée ? Pourquoi je t'aurais humiliée ? » Elle se retourna et lui attrapa la mâchoire cherchant à lui faire mal, elle l'attrapa bien fermement. « Si t'es pas pleinement satisfait, ok. Fais ce tu veux, j'en ai rien à foutre, mais fais ça dans mon dos ok ? Pas dans un endroit où je serais la conne de l'histoire. T'imprime ? T'imprime bien ? Hein Lou ? T'imprimes bien ce que je te dis. Baise les toutes. » Elle ne lâcha pas sa mâchoire, elle la tenait bien fermement, ses ongles s'enfonçaient un peu sans pour autant chercher le sang. Il ne comprenait pas, il avait pas de comptes à lui rendre, y'a rien entre eux, ok ? Y'a rien, alors qu'est ce qu'elle lui chie là ? Il lui attrapa la poignet, le serrant pour qu'elle lâche sa prise sur sa mâchoire. Il eut un sourire. Les baiser toutes hein ? Il allait donc la prendre la toute de suite, qu'elle le veuille, ou non d'ailleurs, il lui attrapa les poignets et la plaqua sur le lit. « Dans ce cas je te baise toi. » Elle le regarda. Non, elle voulait pas. Il s'en fout. Il veut la baiser. Il s'était penchée sur elle, elle était sur le dos, lui au dessus, elle n'était pas en position de force. « Non. Casse toi. Dégage. Tu me toucheras pas après elle, ça tu te carres ta bite derrière l'oreille mon grand ! » Il eut un sourire en coin, un sourire narquois. C'est qu'elle tentait de le repousser en plus. Sérieusement, elle l'excitait complètement. Qu'elle le repousse comme ça il se pencha, pour l'embrasser elle tourna la tête, refusant catégoriquement, c'était un massif non. « Je veux te baiser. » Elle tourna la tête. Il lâcha sa prise et l'embrassa avec une volonté qui lui était bien propre en maintenant son visage bien face au sien, elle plaqua ses mains contre son torse pour le repousser, ne supportant pas ses lèvres contre les siennes. Tes MST tu te les gardes. Il voulait coucher avec elle. Qu'il trouve quelque chose alors. « Tu veux me baiser ? Soit, trouves toi une capote. » Elle le poussa violemment se dégageant. « Pourquoi ? J'te veux toi. Je veux te baiser profondément, pas dans du plastique. » Elle eut un sourire narquois. Ah c'est pas le même délire avec le petit capuchon en plastique hein ? Rien à foutre. C'est moins drôle hein ? On dirait un enfant. « Et après ? Je suis censée partager les maladies des autres avec toi ? Tu peux bien les baiser à sec si tu veux, mais je passe après, c'est même pas la peine d'y penser ok ? » Elle fit un sourire forcé. Sérieusement. « Tu veux que je fasse un contrôle ? » demanda t-il ironique, en rigolant et en la regardant droit dans les yeux. « Au fond, tu veux que je prenne là, mais tu cherches juste une excuse par fierté parce que j'ai sauté l'autre Juliette. » déclara t-il en souriant en coin Elle le regarda. Peut être un peu oui. Il fallait l'avouer. Mais en même temps, elle ne l'interdisais pas de la baiser, oh non. Elle voulait bien, au contraire. « Mais au contraire monsieur Meister, au contraire, je ne vous demande juste qu'un peu de sécurité afin de ne pas contracter les maladies sexuellement transmissibles que t'auront donné tes joyeuses partenaires. Tu me suis ? Mais Baise moi Lou, avec une capote si t'es pas capable de garder ton pénis dans ton pantalon. » Et cette fois ci, ce fut une victoire d'Hatsue contre Lou. Satisfaction ultime. La baise est une arme, faire la grève du sexe, une belle et grande idée féminine. Il allait la baiser, Il mit les mains dans ses poches, et partit en acheter. Non il n'en avait pas sur lui. Il n'avait pas vraiment prévu de devoir coucher avec madame avec un truc en plastique.

En revenant, il se vengea. En la torturant. En faisant durer... et durer... et durer... les préliminaires, une véritable, une véritable torture, chose qui n'était pas souvent dans les priorités de Lou, ni même d'Hatsue d'ailleurs. Mais au final. Ils baisaient quand même. Une douce mort. Il lui donna la douce mort, une orgasme au gout de douce mort, le plus horrible, où le plus agréable, tout dépends non ? Mais au final, Hatsue du tout de même se résigner à devoir partager, et ça ... elle le supportait mal. Quand elle se réveilla, il restait encore deux heures avant la prochaine épreuves. Ah, putain, du plastique quoi. «Fais chier putain ..»
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