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Death Cannibalism 01



 
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Invité
Anonymous

Lun 19 Déc 2011 - 12:20
Bref résumé



Mon nom est Cash Ethel Black. Ethel, c'est le nom que mes Tempius de parents biologiques m'ont laissé. Black, c'est celui de ma famille adoptive dont je n'ai plus eut de nouvelles. Mais bref. Le passé est le passé, et cette histoire est loin derrière moi. Enfin loin, ça ne fait qu'un an que je suis Déserteuse après tout.

Après la fuite ?


Déserteuse, qui l'eut cru... J'étais persuadée qu'être Wrist était un devoir, et quelle joie ce fut lorsqu'on m'a accepté à 15 ans. Ils m'avaient donné ma première (et dernière) arme : un pistolet à charge électrique. Oh, évidemment, il n'avait pas la capacité de tuer qui que ce soit, je n'étais qu'une débutant après tout. Il contenait tout juste suffisamment d'énergie pour paralyser les êtres les plus faibles, comme les citoyens normaux. J'ai eu la chance d'avoir fuit avec lorsque les Wrists ont débarqué chez moi pour m'effacer la mémoire ! Je me suis échappée en vitesse par le toit, et j'ai erré dans la rue, évitant la zone D.

Malheuresement, les Wrists étaient encore à mes trousses et je les entendais approcher... J'ai bifurqué dans une ruelle et je me suis retrouvée devant un bâtiment abandonné. Il bloquait la route. Pas le choix : j'ai pris mon pistolet et le cogna contre la vite, qui se brisa. Je me glissais alors rapidement dans ce que je pensais être un garage. Il y avait pleins de ferrailles et de machines. Au centre, se tenait un homme. Vu sa taille, je lui donnais la trentaine. Il m'a repéré et a brandit quelque chose que je ne pouvais pas distinguer. Il m'a demandé qui j'étais, ce que je voulais. Je lui ai dis que j'étais une citoyenne, et que je me baladais aux alentours. Franchement, sur le coup, c'était la première excuse qui m'était venue en tête. Après, c'est vrai qu'en sachant qu'il était aux alentours de 2 heures du matin, que je tenais un flingue et que j'étais arrivée ici en cassant une fenêtre, on pouvait difficilement croire que j'étais sortie prendre l'air. Il s'approcha alors de moi, sans doute pour vérifier si je n'étais pas contaminée. Mais à peine avait il éclairé mon visage avec sa lampe torche que les Wrists frappaient à la grande porte. Je lui jetais un bref regard, implorante. Je crois qu'il eut pitié, car il me montra une trappe dans laquelle je me suis glissée. Après quoi il ouvrit la porte et affirma qu'il n'avait vu personne entrer. Il m'a demandé de sortir, ce que je fis, en gardant quand même mon pistolet sous cape.

Cet homme était un Katar (la chance m'avait sourit). Il semblait aussi se méfier de moi, car il avait gardé son arme près de lui. Une sorte de matraque étrangement customisée. Il s'était présenta et me proposa de l'eau. Après cette course-poursuite, j'avais la gorge complètement sèche, et mon esprit n'était plus très clair, alors j'acceptais. Il me posa toutes sortes de questions, principalement sur comment j'avais atterrie ici. A ma grande surprise, j'avais commencé à déblatéré ma vie dans les moindres détails. Ca a dut prendre une trentaine de minutes. Je n'ai compris qu'après qu'il m'avait fait ingérer un sérum de vérité. Quand l'effet s'estompa, il parut satisfait et me proposa un logement temporaire. Bien que surprise, je fus ravie d'avoir au moins une connaissance.
Cet homme faisait partie des ingénieurs en armement des Katars. Il m'enseigna tout ce que je devais savoir sur les armes, et m'apprit à en construire. C'est ainsi que mon pistolet fut améliorer : il était plus gros, tirait toujours des balles à charges électriques mais suffisament fortes pour tuer. La dose d'énergie était réglable, grâce à un cran près du barillet. Les balles n'étaient pas simples à trouver, car à l'époque encore c'était un modèle expérimental. Heureusement, on a finit par trouver des substituts qui convenaient parfaitement. Il me fit partager ses pensées sur le gouvernement, les Wrists, les contaminés et le reste de la population. Il me raconta comment il en était arrivé là, sa vie, ses passions, ses rêves... Je pouvais lui faire confiance, et aujourd'hui encore c'est un de mes plus grands amis. J'en avais besoin, dans ce monde de brute.

Et ton caractère ?


Elle aime avoir raison, et logiquement, déteste avoir tort (mais qui aime ça ?) ! Elle n'est pas particulièrement fière de son statut, mais l'assume complètement. Elle considère qu'elle le mérite et à fait sa part. Elle gagne sa vie en aidant son ami au garage, à construire des machines et des voitures. Mine de rien, ce travail rapportait pas mal et elle décida il y a peu qu'il était grand temps de trouver sa propre habitation. Elle cherche encore une chambre à l'heure actuelle.

Elle aime être indépendante, ce qui fait qu'elle ne se confie pas facilement. Son jeune âge peut faire croire que c'est une proie facile, mais on néglige souvent le fait qu'elle ait suivie l'entrainement des Wrists et d'un Katar. De ce fait, elle se débrouillait bien pour se débarasser des contaminés encombrants, même si ce n'est pas son but premier. Elle se fout complètement du problème entre Wrists et Contaminés, car ce n'est plus son problème. Elle trouve les Tempius fous et les Wrists injustement appréciés. Elle est sarcastique mais n'a pas un mauvais fond.

Les hommes la rendaient assez nerveuse, probablement à cause de l'éducation casi-religieuse de ses parents biologiques. Dès que l'un d'eux s'approche, elle se referme et n'hésite pas à sortir son arme.

Elle n'a jamais envisagé de relations avec une femme, là encore probablement à cause de son éducation. Mais elle sait qu'elle ne sera jamais interessée, car elle l'avoue elle-même, les femmes sont trop "prise de tête".

Elle a gardé son uniforme de Wrist, qu'elle garde sous sa cape. Elle a aussi conservé ses gros bracelets mais ne les met que losqu'elle se rend dans la zone D.

Elle aime le contact avec le froid.

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